Le ministre Adama Diawara a lancé ce lundi 14 juillet les épreuves du Brevet de Technicien Supérieur (BTS 2025) en Côte d'Ivoire © Crédit photo DR
Le BTS 2025 en Côte d'Ivoire mobilise 54.145 candidats depuis lundi 14 juillet au lycée moderne de Cocody. Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, professeur Adama Diawara, a donné le coup d'envoi des épreuves écrites du Brevet de Technicien Supérieur session 2025. Cette édition enregistre une légère baisse par rapport à l'année précédente avec 55.321 candidats en 2024.
La répartition des candidats révèle une prédominance des filières tertiaires avec 59,05% contre 40,05% pour les filières industrielles. Les épreuves se déroulent dans 134 centres d'examen répartis sur l'ensemble du territoire ivoirien. Abidjan concentre 94 centres tandis que 40 autres sont installés à l'intérieur du pays pour rapprocher l'examen des candidats.
La répartition des candidats révèle une prédominance des filières tertiaires avec 59,05% contre 40,05% pour les filières industrielles. Les épreuves se déroulent dans 134 centres d'examen répartis sur l'ensemble du territoire ivoirien. Abidjan concentre 94 centres tandis que 40 autres sont installés à l'intérieur du pays pour rapprocher l'examen des candidats.
La lutte contre la fraude
Le ministère explique cette diminution par les mesures prises contre les inscriptions frauduleuses. « L'année dernière, nous avons 55.321 candidats. Nous avons au niveau du nombre de candidats une chute de 2,12% qui s'explique par la lutte contre la fraude pour les inscriptions indues en année préparatoire du BTS », a déclaré le ministre Adama Diawara.
Cette politique de fermeté vise à assainir le système d'examen et à garantir l'équité entre les candidats. Les autorités académiques ont renforcé les contrôles lors des inscriptions pour éviter les dossiers non conformes. Cette approche stricte impacte directement le nombre de candidats admis à composer mais améliore la crédibilité de l'examen.
Cette politique de fermeté vise à assainir le système d'examen et à garantir l'équité entre les candidats. Les autorités académiques ont renforcé les contrôles lors des inscriptions pour éviter les dossiers non conformes. Cette approche stricte impacte directement le nombre de candidats admis à composer mais améliore la crédibilité de l'examen.
Un appel à l'honnêteté des candidats
Le ministre interpelle directement les candidats sur la nécessité d'éviter toute forme de tricherie. « Je demande aux différents candidats de tourner le dos à toutes formes de tricherie, à toutes formes de fraude parce que les surveillants veillent au grain », a insisté Adama Diawara. Il encourage les candidats à se concentrer sur leurs connaissances acquises en classe.
« Ils doivent se concentrer sur ce qu'on leur donne dans la mesure où les épreuves portent sur des leçons qu'ils ont déjà vu en classe. Je leur souhaite bonne chance », a-t-il ajouté. Cette mise en garde intervient dans un contexte où les autorités renforcent la surveillance des examens nationaux pour préserver leur intégrité.
Les résultats de l'édition précédente préoccupent les autorités académiques. « Je souhaite que les résultats de cette année soient meilleurs que ceux de l'année passée parce que l'année dernière, nous avions eu un taux de réussite de 38,39%. C'est pas fameux », a reconnu le ministre. Cette performance jugée insuffisante pousse à espérer une amélioration significative.
Le calendrier de la session 2025 s'étale sur plusieurs semaines avec les épreuves écrites du 14 au 19 juillet. Les épreuves pratiques suivront du 21 au 25 juillet 2025. Les candidats devront attendre le 14 août 2025 pour connaître leurs résultats. Cette organisation vise à permettre une correction rigoureuse des copies et une délibération sereine des jurys.
« Ils doivent se concentrer sur ce qu'on leur donne dans la mesure où les épreuves portent sur des leçons qu'ils ont déjà vu en classe. Je leur souhaite bonne chance », a-t-il ajouté. Cette mise en garde intervient dans un contexte où les autorités renforcent la surveillance des examens nationaux pour préserver leur intégrité.
Les résultats de l'édition précédente préoccupent les autorités académiques. « Je souhaite que les résultats de cette année soient meilleurs que ceux de l'année passée parce que l'année dernière, nous avions eu un taux de réussite de 38,39%. C'est pas fameux », a reconnu le ministre. Cette performance jugée insuffisante pousse à espérer une amélioration significative.
Le calendrier de la session 2025 s'étale sur plusieurs semaines avec les épreuves écrites du 14 au 19 juillet. Les épreuves pratiques suivront du 21 au 25 juillet 2025. Les candidats devront attendre le 14 août 2025 pour connaître leurs résultats. Cette organisation vise à permettre une correction rigoureuse des copies et une délibération sereine des jurys.