Le match Comores-Mali de ce lundi 29 décembre ressemble à une finale avant l'heure. Au stade de Casablanca, les deux formations du Groupe A n'ont plus le choix : gagner ou rentrer à la maison. Après deux journées disputées, ni les Cœlacanthes ni les Aigles ne peuvent se permettre le moindre faux pas. La CAN 2025 continue sans eux en cas de défaite ou même de nul.
Cette affiche n'arrive pas par hasard. Les Comores et le Mali se sont déjà mesurés il y a quelques mois lors des qualifications pour le Mondial 2026. Deux rencontres, deux succès maliens (3-0 à chaque fois), tous les deux disputés sur terrain neutre à Berkane. Mais ce lundi, l'histoire s'écrit sur une page blanche. Les résultats du passé ne comptent plus. Seuls les 90 minutes à venir décideront de l'avenir des deux équipes dans cette compétition.
Cette affiche n'arrive pas par hasard. Les Comores et le Mali se sont déjà mesurés il y a quelques mois lors des qualifications pour le Mondial 2026. Deux rencontres, deux succès maliens (3-0 à chaque fois), tous les deux disputés sur terrain neutre à Berkane. Mais ce lundi, l'histoire s'écrit sur une page blanche. Les résultats du passé ne comptent plus. Seuls les 90 minutes à venir décideront de l'avenir des deux équipes dans cette compétition.
Le Mali ne peut plus se rater
Avec seulement deux points au compteur, le Mali aborde cette troisième journée dans une position délicate. Un match nul face à la Zambie lors de l'ouverture, puis un autre contre le Maroc, pays organisateur : voilà le maigre butin des hommes de Tom Saintfiet. Pour poursuivre l'aventure, il n'existe qu'une seule option. « Nous voulons gagner, mais ce sera difficile », reconnaît le sélectionneur belge, conscient que son équipe n'a plus droit à l'erreur.
Pourtant, le visage montré face aux Marocains laisse entrevoir des raisons d'espérer. Le Mali a proposé un football solide, discipliné, avec une ossature défensive bien en place. « Ce qui compte, ce sont les trois points », martèle Hamari Traoré, l'un des cadres de la sélection. Le défenseur insiste : « Nous respectons l'adversaire, mais nous jouons pour gagner. » La pression est maximale, mais les Aigles ont les armes pour répondre présents.
Pourtant, le visage montré face aux Marocains laisse entrevoir des raisons d'espérer. Le Mali a proposé un football solide, discipliné, avec une ossature défensive bien en place. « Ce qui compte, ce sont les trois points », martèle Hamari Traoré, l'un des cadres de la sélection. Le défenseur insiste : « Nous respectons l'adversaire, mais nous jouons pour gagner. » La pression est maximale, mais les Aigles ont les armes pour répondre présents.
Les Comores jouent leur va-tout
De l'autre côté, les Comores n'ont rien à perdre. Derniers du groupe avec un seul point, ils doivent absolument l'emporter pour espérer se qualifier. Battus d'entrée par le Maroc, les Cœlacanthes ont ensuite arraché un nul face à la Zambie. Ce résultat a dévoilé une formation combative, solidaire, capable de tenir tête à n'importe quel adversaire. « Nous sommes derniers, nous n'avons rien à perdre », lance Youssouf Zaïdou, milieu de terrain de la sélection.
Stefano Cusin, le sélectionneur, a préparé ses joueurs pour ce rendez-vous capital. « Être prêts à 100 % ne suffira pas face au Mali, il faudra aller au-delà », prévient le technicien italien. Il sait que trois matches en huit jours pèsent sur les organismes. Mais il croit en son groupe. « Une victoire peut nous qualifier à la deuxième place, et le Mali n'est pas encore qualifié. Tout reste ouvert », rappelle-t-il. L'optimisme règne malgré la situation.
Stefano Cusin, le sélectionneur, a préparé ses joueurs pour ce rendez-vous capital. « Être prêts à 100 % ne suffira pas face au Mali, il faudra aller au-delà », prévient le technicien italien. Il sait que trois matches en huit jours pèsent sur les organismes. Mais il croit en son groupe. « Une victoire peut nous qualifier à la deuxième place, et le Mali n'est pas encore qualifié. Tout reste ouvert », rappelle-t-il. L'optimisme règne malgré la situation.
Un piège que personne ne veut éviter
Tom Saintfiet ne se fait aucune illusion. « Nous avons déjà battu les Comores, mais cela peut devenir un piège », admet le Belge. Il connaît bien son homologue comorien et sait que celui-ci a préparé son équipe avec soin. « C'est une équipe de qualité, bien dirigée. Si nous ne respectons pas l'adversaire et si nous ne sommes pas prêts, nous pouvons perdre », insiste-t-il. Pas question de sous-estimer un adversaire qui n'a plus rien à perdre.
Pour Hamari Traoré également, la prudence s'impose. « Les Comores ont des joueurs techniques et expérimentés », souligne le défenseur malien. Cette rencontre sera la première entre les deux nations en phase finale de la CAN 2025. Les confrontations précédentes, lors des qualifications du Mondial, appartiennent au passé. Ce lundi soir, sur la pelouse de Casablanca, tout recommence à zéro. Un nouveau chapitre s'ouvre, avec pour seul enjeu : la survie dans la compétition.
Pour Hamari Traoré également, la prudence s'impose. « Les Comores ont des joueurs techniques et expérimentés », souligne le défenseur malien. Cette rencontre sera la première entre les deux nations en phase finale de la CAN 2025. Les confrontations précédentes, lors des qualifications du Mondial, appartiennent au passé. Ce lundi soir, sur la pelouse de Casablanca, tout recommence à zéro. Un nouveau chapitre s'ouvre, avec pour seul enjeu : la survie dans la compétition.






