Le secteur catholique rejoint le mouvement de contestation sociale en Côte d'Ivoire. Le Syndicat National des Enseignants du Préscolaire et Primaire Catholique (SNEPPCC) a annoncé une grève de trois jours.
Cette décision intervient après l'annonce d'un arrêt de travail des fonctionnaires du 15 au 17 octobre 2024. Les enseignants du public maintiennent leur mouvement malgré les négociations avec le gouvernement.
Les enseignants, tant du public que du privé catholique, réclament une amélioration de leurs conditions de travail. La prime au logement a été accordée, mais la question de la prime d'incitation reste un point de désaccord.
Les négociations entre le gouvernement et les syndicats n'ont pas abouti, conduisant à ces mouvements de grève successifs.
Ces grèves successives perturbent le début de l'année scolaire en Côte d'Ivoire. Les élèves du public et du privé catholique risquent de voir leurs cours interrompus pendant plusieurs jours.
Le gouvernement et les syndicats restent sur leurs positions. Cette situation laisse présager des tensions persistantes dans le secteur de l'éducation ivoirien.
La multiplication des mouvements de grève soulève des questions sur la capacité du système éducatif à fonctionner normalement. Les parents d'élèves s'inquiètent des conséquences sur la scolarité de leurs enfants.
Cette décision intervient après l'annonce d'un arrêt de travail des fonctionnaires du 15 au 17 octobre 2024. Les enseignants du public maintiennent leur mouvement malgré les négociations avec le gouvernement.
Les enseignants, tant du public que du privé catholique, réclament une amélioration de leurs conditions de travail. La prime au logement a été accordée, mais la question de la prime d'incitation reste un point de désaccord.
Les négociations entre le gouvernement et les syndicats n'ont pas abouti, conduisant à ces mouvements de grève successifs.
Ces grèves successives perturbent le début de l'année scolaire en Côte d'Ivoire. Les élèves du public et du privé catholique risquent de voir leurs cours interrompus pendant plusieurs jours.
Le gouvernement et les syndicats restent sur leurs positions. Cette situation laisse présager des tensions persistantes dans le secteur de l'éducation ivoirien.
La multiplication des mouvements de grève soulève des questions sur la capacité du système éducatif à fonctionner normalement. Les parents d'élèves s'inquiètent des conséquences sur la scolarité de leurs enfants.
