Le 9 juin 2025, la Côte d’Ivoire a lancé sa Semaine Ivoirienne à l'Exposition Universelle d'Osaka avec un événement axé sur sa gastronomie. Sous la présence de SEM Désiré Wulfran Gbolié Ipo, ambassadeur de la Côte d'Ivoire au Japon, cette journée a permis aux visiteurs japonais de découvrir la richesse des saveurs ivoiriennes. Fadiga Kaladji, directeur général de l’Agence Côte d’Ivoire Export, a introduit ce moment en expliquant l'importance de la cuisine ivoirienne pour promouvoir la culture du pays.
"Nous avons choisi d’ouvrir cette semaine par la gastronomie, car elle représente l’un des atouts majeurs de la Côte d’Ivoire", a déclaré Kaladji. Cette stratégie vise à établir des ponts entre les cultures pour favoriser l'échange et la coopération économique.
"Nous avons choisi d’ouvrir cette semaine par la gastronomie, car elle représente l’un des atouts majeurs de la Côte d’Ivoire", a déclaré Kaladji. Cette stratégie vise à établir des ponts entre les cultures pour favoriser l'échange et la coopération économique.
Une ouverture sur les saveurs ivoiriennes
L’ingrédient phare de l'événement a été le gombo, célébré dans plusieurs plats traditionnels. Le chef ivoirien Kofi Roger a présenté des spécialités comme le kabato, une semoule de maïs accompagnée d'une sauce au gombo, et le fameux attiéké. Ce dernier est reconnu comme patrimoine immatériel de l’UNESCO depuis 2024, illustrant la diversité culinaire du pays.
Les visiteurs ont pu apprécier les différentes préparations mettant en valeur le gombo, un point de convergence entre la cuisine ivoirienne et japonaise. Hiroshi Okamoto, enseignant japonais, a affirmé : "J’ai été impressionné par les plats que j’ai goûtés. Le gombo préparé ici est vraiment différent de notre cuisine."
Les visiteurs ont pu apprécier les différentes préparations mettant en valeur le gombo, un point de convergence entre la cuisine ivoirienne et japonaise. Hiroshi Okamoto, enseignant japonais, a affirmé : "J’ai été impressionné par les plats que j’ai goûtés. Le gombo préparé ici est vraiment différent de notre cuisine."
Un chocolat ivoirien de première classe
La journée s'est poursuivie avec la présentation du chocolat ivoirien. Transformé localement à partir du cacao du premier pays producteur mondial, il a été mis à l’honneur lors d'une dégustation orchestrée par la chocolatière Viviane Kouamé. Les visiteurs ont pu constater toute la richesse aromatique du chocolat.
Un artisan japonais a confié : "Le goût est extraordinaire." Il a regretté l'absence de chocolat ivoirien sur les étals locaux. Ce produit représente une opportunité économique significative que la délégation ivoirienne souhaite exploiter. "Nous voulons faire connaître notre chocolat, mais aussi l’anacarde, les fruits transformés, le miel et d'autres produits", a souligné Kaladji.
Un artisan japonais a confié : "Le goût est extraordinaire." Il a regretté l'absence de chocolat ivoirien sur les étals locaux. Ce produit représente une opportunité économique significative que la délégation ivoirienne souhaite exploiter. "Nous voulons faire connaître notre chocolat, mais aussi l’anacarde, les fruits transformés, le miel et d'autres produits", a souligné Kaladji.
Mettre en avant le chocolat ivoirien
Un autre point fort de la journée a été la mise en avant du chocolat ivoirien, issu du cacao cultivé en Côte d'Ivoire, premier producteur mondial. Une dégustation a été animée par la chocolatière Viviane Kouamé. Les visiteurs ont été invités à découvrir les saveurs uniques du chocolat, transformé localement.
Un artisan japonais a reconnu : "Le goût est exceptionnel." Il a exprimé son souhait de voir le chocolat ivoirien sur les étals japonais. Cette opportunité économique a été réaffirmée par Kaladji : "Nous souhaitons promouvoir notre chocolat, ainsi que d'autres produits ivoiriens comme l’anacarde et le bissap."
Un artisan japonais a reconnu : "Le goût est exceptionnel." Il a exprimé son souhait de voir le chocolat ivoirien sur les étals japonais. Cette opportunité économique a été réaffirmée par Kaladji : "Nous souhaitons promouvoir notre chocolat, ainsi que d'autres produits ivoiriens comme l’anacarde et le bissap."
La gastronomie comme outil d'échanges
L'objectif de la Côte d'Ivoire à cette exposition n'est pas uniquement culturel, mais aussi économique. La délégation aspire à lever plus de 100 milliards de FCFA grâce à des rencontres B2B avec des entreprises japonaises. De nombreux acteurs économiques, bien que présents sur les marchés internationaux, n'ont pas encore investi en Côte d'Ivoire.
Le commissaire général a ajouté : "Notre caoutchouc naturel possède une qualité exceptionnelle, et nous voulons le faire connaître au Japon." Attirer l'attention des investisseurs japonais est essentiel pour développer le secteur agricole et renforcer la position de la Côte d'Ivoire sur la scène internationale.
La gastronomie se révèle être un puissant vecteur de diplomatie et d'échanges culturels. Fadiga Kaladji a déclaré : "À travers la gastronomie, nous partageons notre identité et jetons les bases d'échanges fructueux." L'Exposition Universelle ouvre ainsi des perspectives nouvelles pour la Côte d'Ivoire.
Le point culminant de la Semaine Ivoirienne sera atteint le 13 juin, lors de la Journée Nationale de la Côte d’Ivoire. Des discours officiels, performances artistiques et rencontres bilatérales sont au programme, marquant l'engagement de l'État ivoirien en matière de diplomatie économique.
Le commissaire général a ajouté : "Notre caoutchouc naturel possède une qualité exceptionnelle, et nous voulons le faire connaître au Japon." Attirer l'attention des investisseurs japonais est essentiel pour développer le secteur agricole et renforcer la position de la Côte d'Ivoire sur la scène internationale.
La gastronomie se révèle être un puissant vecteur de diplomatie et d'échanges culturels. Fadiga Kaladji a déclaré : "À travers la gastronomie, nous partageons notre identité et jetons les bases d'échanges fructueux." L'Exposition Universelle ouvre ainsi des perspectives nouvelles pour la Côte d'Ivoire.
Le point culminant de la Semaine Ivoirienne sera atteint le 13 juin, lors de la Journée Nationale de la Côte d’Ivoire. Des discours officiels, performances artistiques et rencontres bilatérales sont au programme, marquant l'engagement de l'État ivoirien en matière de diplomatie économique.
