Les finalistes de Miss Côte d'Ivoire 2025 © Crédit photo DR
Les finalistes de Miss Côte d'Ivoire 2025 ont été sélectionnées à l'issue des présélections régionales organisées de février à mai à travers le pays. Les candidates ont émergé de ce processus rigoureux et représenteront leurs régions respectives lors de la grande finale nationale.
Parmi les qualifiées figurent Aïcha Bonibo (Miss Bounkani), Diane Gouano (Miss régionale du N'zi), KORE Doria (Miss Haut Sassandra) et Mouroufie Leatitia (Miss Worodougou). Complètent ce tableau d'honneur Sarah FEDDAL (Miss Gbêkê), Fatima Koné (Miss Hambol), Eva Akassimadou et Amandine Kouakou (reine de beauté de la région du Bélier).
Ces jeunes femmes ont dû faire preuve de talent, d'éloquence et de culture générale pour se hisser à ce niveau de la compétition. Elles succéderont peut-être à Marie-Emmanuelle Diamala, l'actuelle Miss Côte d'Ivoire, couronnée le 29 juin 2024 au Parc des Expositions d'Abidjan.
Parmi les qualifiées figurent Aïcha Bonibo (Miss Bounkani), Diane Gouano (Miss régionale du N'zi), KORE Doria (Miss Haut Sassandra) et Mouroufie Leatitia (Miss Worodougou). Complètent ce tableau d'honneur Sarah FEDDAL (Miss Gbêkê), Fatima Koné (Miss Hambol), Eva Akassimadou et Amandine Kouakou (reine de beauté de la région du Bélier).
Ces jeunes femmes ont dû faire preuve de talent, d'éloquence et de culture générale pour se hisser à ce niveau de la compétition. Elles succéderont peut-être à Marie-Emmanuelle Diamala, l'actuelle Miss Côte d'Ivoire, couronnée le 29 juin 2024 au Parc des Expositions d'Abidjan.
Un processus de sélection exigeant
Le face à face entre candidates constitue l'une des étapes décisives des présélections régionales. Lors de ces confrontations, les participantes sont évaluées selon plusieurs critères fondamentaux : physique, élocution, comportement et connaissances générales.
Ces moments d'échange direct avec le jury permettent d'apprécier la personnalité, la spontanéité et la capacité d'expression de chaque prétendante à la couronne. Les questions posées, parfois techniques ou d'actualité, révèlent leur aisance à l'oral et leur niveau de culture générale.
L'innovation de cette année réside dans l'organisation de face à face en ligne pour certaines régions. Les candidates du N'zi, par exemple, ont dû convaincre les internautes via des plateformes dédiées, avec un vote organisé sur le site officiel du comité Miss Côte d'Ivoire.
Ces moments d'échange direct avec le jury permettent d'apprécier la personnalité, la spontanéité et la capacité d'expression de chaque prétendante à la couronne. Les questions posées, parfois techniques ou d'actualité, révèlent leur aisance à l'oral et leur niveau de culture générale.
L'innovation de cette année réside dans l'organisation de face à face en ligne pour certaines régions. Les candidates du N'zi, par exemple, ont dû convaincre les internautes via des plateformes dédiées, avec un vote organisé sur le site officiel du comité Miss Côte d'Ivoire.
L'héritage d'une couronne engagée
La future Miss Côte d'Ivoire 2025 succédera à Marie-Emmanuelle Diamala, représentante du Sud-Comoé, élue en 2024. Âgée de 20 ans et étudiante en 3e année de Management Finance dans une université anglophone, l'actuelle détentrice du titre s'est distinguée par son projet social visant à réduire la mortalité maternelle dans le pays.
Le concours Miss Côte d'Ivoire dépasse largement le cadre d'une simple compétition de beauté. L'édition 2024 avait mis l'accent sur l'émancipation de la femme ivoirienne, avec une thématique centrale autour de la question : « Qu'attend la jeune femme ivoirienne de l'État pour son développement personnel ? »
Les finalistes 2025 devront donc non seulement incarner les critères esthétiques traditionnels du concours, mais également porter un projet sociétal significatif. Les organisateurs maintiennent les conditions strictes d'éligibilité : les candidates doivent être âgées de 17 à 25 ans, posséder la nationalité ivoirienne, respecter des critères de taille et avoir un casier judiciaire vierge.
La grande finale, prévue en juin 2025, déterminera qui de ces huit finalistes succédera à Marie-Emmanuelle Diamala. Le trio gagnant de l'an dernier était complété par Coulibaly Fatoumata (Gontougo) comme première dauphine et Konan Maulani (région de la Mé) en tant que deuxième dauphine.
Les huit candidates finalistes entrent désormais dans une phase intense de préparation, entre séances photos, entraînements pour les défilés, coaching pour les prises de parole et élaboration de leurs projets sociaux. La pression monte pour ces ambassadrices régionales qui aspirent toutes à devenir le nouveau visage de la beauté ivoirienne.
Le concours Miss Côte d'Ivoire dépasse largement le cadre d'une simple compétition de beauté. L'édition 2024 avait mis l'accent sur l'émancipation de la femme ivoirienne, avec une thématique centrale autour de la question : « Qu'attend la jeune femme ivoirienne de l'État pour son développement personnel ? »
Les finalistes 2025 devront donc non seulement incarner les critères esthétiques traditionnels du concours, mais également porter un projet sociétal significatif. Les organisateurs maintiennent les conditions strictes d'éligibilité : les candidates doivent être âgées de 17 à 25 ans, posséder la nationalité ivoirienne, respecter des critères de taille et avoir un casier judiciaire vierge.
La grande finale, prévue en juin 2025, déterminera qui de ces huit finalistes succédera à Marie-Emmanuelle Diamala. Le trio gagnant de l'an dernier était complété par Coulibaly Fatoumata (Gontougo) comme première dauphine et Konan Maulani (région de la Mé) en tant que deuxième dauphine.
Les huit candidates finalistes entrent désormais dans une phase intense de préparation, entre séances photos, entraînements pour les défilés, coaching pour les prises de parole et élaboration de leurs projets sociaux. La pression monte pour ces ambassadrices régionales qui aspirent toutes à devenir le nouveau visage de la beauté ivoirienne.