Présidentielle ivoirienne 2025 : Assalé Tiémoko ne soutiendra aucun candidat © Crédit photo DR
Le mouvement ADCI d'Assalé Tiémoko a annoncé ce 21 octobre 2025 qu'il n'apportera son soutien à aucun candidat pour l'élection présidentielle du 25 octobre. Cette décision intervient quatre jours avant le scrutin.
"Après une large consultation de sa base militante, ADCI informe officiellement l'ensemble de ses membres, militants et sympathisants, et l'opinion nationale et internationale de sa décision de n'apporter son soutien à aucun candidat", a déclaré le secrétaire exécutif du mouvement, lors d'une conférence de presse à Abidjan.
Le président d'ADCI, Assalé Tiémoko, avait rencontré plusieurs acteurs politiques à la maison citoyenne d'Abidjan. Le mouvement leur avait recommandé de désigner un candidat unique de l'opposition dès le premier tour. "Cette recommandation qui lui aurait permis de prendre une part active à la campagne n'a pas été prise en compte", a regretté Roger Huan.
ADCI dénonce un "verrouillage électoral" et pointe le déploiement de 44 000 hommes des forces de défense et de sécurité. Le mouvement présente ses condoléances aux familles des victimes de violences enregistrées pendant la campagne, dont un manifestant tué par balle à Bondoukou et le sous-lieutenant tué à Grand-Lahou.
"La marche républicaine et démocratique ne tue pas et ne crée aucun désordre. C'est l'interdiction générale sans motif valable autre que de museler qui crée le désordre", a répété à deux reprises le secrétaire exécutif.
Le mouvement réclame "un dialogue national pour éviter à la Côte d'Ivoire une autre grave crise sociopolitique". "Il vaut mieux être face à face autour d'une table pour se parler sincèrement et trouver des solutions durables dans l'intérêt du pays plutôt que se retrouver face à face dans les rues".
ADCI accorde son soutien "à tous nos concitoyens justement embastillés, contraints à l'exil ou à vivre cachés" et se tient aux côtés "de toutes les forces démocratiques et des acteurs de la société civile engagés pour l'ouverture d'un dialogue sincère".
"Après une large consultation de sa base militante, ADCI informe officiellement l'ensemble de ses membres, militants et sympathisants, et l'opinion nationale et internationale de sa décision de n'apporter son soutien à aucun candidat", a déclaré le secrétaire exécutif du mouvement, lors d'une conférence de presse à Abidjan.
Le président d'ADCI, Assalé Tiémoko, avait rencontré plusieurs acteurs politiques à la maison citoyenne d'Abidjan. Le mouvement leur avait recommandé de désigner un candidat unique de l'opposition dès le premier tour. "Cette recommandation qui lui aurait permis de prendre une part active à la campagne n'a pas été prise en compte", a regretté Roger Huan.
ADCI dénonce un "verrouillage électoral" et pointe le déploiement de 44 000 hommes des forces de défense et de sécurité. Le mouvement présente ses condoléances aux familles des victimes de violences enregistrées pendant la campagne, dont un manifestant tué par balle à Bondoukou et le sous-lieutenant tué à Grand-Lahou.
"La marche républicaine et démocratique ne tue pas et ne crée aucun désordre. C'est l'interdiction générale sans motif valable autre que de museler qui crée le désordre", a répété à deux reprises le secrétaire exécutif.
Le mouvement réclame "un dialogue national pour éviter à la Côte d'Ivoire une autre grave crise sociopolitique". "Il vaut mieux être face à face autour d'une table pour se parler sincèrement et trouver des solutions durables dans l'intérêt du pays plutôt que se retrouver face à face dans les rues".
ADCI accorde son soutien "à tous nos concitoyens justement embastillés, contraints à l'exil ou à vivre cachés" et se tient aux côtés "de toutes les forces démocratiques et des acteurs de la société civile engagés pour l'ouverture d'un dialogue sincère".