Assalé Tiémoko a interrogé le 20 novembre 2025 les ministres de la Communication et de la Jeunesse © Crédit photo DR
Le député de Tiassalé-Morokro, Assalé Tiémoko, a interpellé le jeudi 20 novembre 2025 deux membres du gouvernement lors de la séance de la commission des affaires économiques et financières consacrée à l'examen des budgets ministériels.
Les ministres Amadou Coulibaly (Communication) et Touré Mamadou (Jeunesse) ont répondu aux interrogations du parlementaire après la présentation de leurs programmes respectifs devant les membres de la commission.
Assalé Tiémoko a d'abord questionné le ministre de la Communication sur l'absence de la RTI du bouquet Canal+. "Combien d'Ivoiriens ont acquis une antenne TNT depuis sa commercialisation ?", a demandé le député, rappelant que l'on renvoie systématiquement les téléspectateurs vers cette technologie.
Amadou Coulibaly a reconnu que la libéralisation de la vente des antennes TNT ne permet pas de disposer de chiffres exhaustifs. Il s'est appuyé sur une étude réalisée auprès de 4 000 ménages : 32 % des foyers urbains possèdent une antenne TNT, contre 68 % en zone rurale.
Sur la part d'audience de 20 % annoncée pour la RTI, Assalé Tiémoko a voulu savoir sur quelle plateforme elle était mesurée. Le ministre a précisé que cette part est calculée à la fois sur le bouquet Canal+ et sur la TNT.
Le député s'est ensuite tourné vers Touré Mamadou au sujet de la protection de la santé mentale des jeunes. Il a rappelé que la Constitution confie à l'État et aux collectivités cette mission, ce qui implique d'interdire l'accès des mineurs aux maquis, bars et boîtes de nuit.
"Votre ministère envisage-t-il de coopérer avec les collectivités pour faire appliquer la réglementation relative aux débits de boissons ?", a interrogé Assalé Tiémoko.
Le ministre de la Jeunesse a reconnu que la santé mentale des jeunes représente une préoccupation pour le gouvernement. Touré Mamadou s'est dit prêt à engager une collaboration avec les collectivités territoriales sur ce dossier. "Des discussions pourront être organisées, nous restons pleinement disponibles", a-t-il assuré.
Ces échanges se sont déroulés dans le cadre de l'examen du projet de loi de finances pour l'année 2026, actuellement en cours à l'Assemblée nationale.
Les ministres Amadou Coulibaly (Communication) et Touré Mamadou (Jeunesse) ont répondu aux interrogations du parlementaire après la présentation de leurs programmes respectifs devant les membres de la commission.
Assalé Tiémoko a d'abord questionné le ministre de la Communication sur l'absence de la RTI du bouquet Canal+. "Combien d'Ivoiriens ont acquis une antenne TNT depuis sa commercialisation ?", a demandé le député, rappelant que l'on renvoie systématiquement les téléspectateurs vers cette technologie.
Amadou Coulibaly a reconnu que la libéralisation de la vente des antennes TNT ne permet pas de disposer de chiffres exhaustifs. Il s'est appuyé sur une étude réalisée auprès de 4 000 ménages : 32 % des foyers urbains possèdent une antenne TNT, contre 68 % en zone rurale.
Sur la part d'audience de 20 % annoncée pour la RTI, Assalé Tiémoko a voulu savoir sur quelle plateforme elle était mesurée. Le ministre a précisé que cette part est calculée à la fois sur le bouquet Canal+ et sur la TNT.
Le député s'est ensuite tourné vers Touré Mamadou au sujet de la protection de la santé mentale des jeunes. Il a rappelé que la Constitution confie à l'État et aux collectivités cette mission, ce qui implique d'interdire l'accès des mineurs aux maquis, bars et boîtes de nuit.
"Votre ministère envisage-t-il de coopérer avec les collectivités pour faire appliquer la réglementation relative aux débits de boissons ?", a interrogé Assalé Tiémoko.
Le ministre de la Jeunesse a reconnu que la santé mentale des jeunes représente une préoccupation pour le gouvernement. Touré Mamadou s'est dit prêt à engager une collaboration avec les collectivités territoriales sur ce dossier. "Des discussions pourront être organisées, nous restons pleinement disponibles", a-t-il assuré.
Ces échanges se sont déroulés dans le cadre de l'examen du projet de loi de finances pour l'année 2026, actuellement en cours à l'Assemblée nationale.