La toxi-infection alimentaire survenue le 12 décembre 2025 à Andé, dans le département d'Adzopé, reste gravée dans les mémoires. Une centaine de personnes ont été victimes d'une intoxication après avoir consommé une bouillie locale appelée "Bacca". Le bilan s'est alourdi avec 11 décès, dont une majorité d'enfants. Face à cette tragédie, le ministre de la Santé, Pierre Dimba, s'est rendu sur place pour représenter le gouvernement lors des funérailles.
La cérémonie funèbre, chargée d'émotion, a réuni de nombreuses personnalités venues témoigner leur solidarité aux familles touchées. Patrick Achi, Premier ministre et ministre d'État, a fait le déplacement. Des représentants du ministère de la Solidarité, des élus locaux, le corps préfectoral, des chefs coutumiers et des guides religieux ont également assisté à cet hommage aux victimes de la toxi-infection alimentaire.
La cérémonie funèbre, chargée d'émotion, a réuni de nombreuses personnalités venues témoigner leur solidarité aux familles touchées. Patrick Achi, Premier ministre et ministre d'État, a fait le déplacement. Des représentants du ministère de la Solidarité, des élus locaux, le corps préfectoral, des chefs coutumiers et des guides religieux ont également assisté à cet hommage aux victimes de la toxi-infection alimentaire.
Une contamination des ingrédients
Pierre Dimba a annoncé avoir ordonné une enquête approfondie pour comprendre les causes exactes du drame. "J'ai instruit mes services afin de faire toute la lumière sur les causes de cette toxi-infection alimentaire", a déclaré le ministre lors de la cérémonie. Les investigations menées sous la direction du Professeur Eholié Serge ont rapidement livré leurs conclusions.
Les analyses ont révélé une contamination des ingrédients utilisés dans la préparation de la bouillie traditionnelle. Le maïs et le sucre seraient à l'origine de cette toxi-infection alimentaire collective qui a frappé la communauté d'Andé. Des mesures d'urgence ont été prises immédiatement pour retirer ces produits contaminés de la circulation et éviter de nouveaux cas.
Les analyses ont révélé une contamination des ingrédients utilisés dans la préparation de la bouillie traditionnelle. Le maïs et le sucre seraient à l'origine de cette toxi-infection alimentaire collective qui a frappé la communauté d'Andé. Des mesures d'urgence ont été prises immédiatement pour retirer ces produits contaminés de la circulation et éviter de nouveaux cas.
Un bilan humain lourd
Les chiffres communiqués par l'Institut National d'Hygiène Publique (INHP) témoignent de l'ampleur de la catastrophe. Sur les 97 cas sévères recensés, 54 concernent des enfants et 43 des adultes. Le drame a coûté la vie à 11 enfants, dont les âges s'échelonnent de 16 mois à 22 ans. Une tragédie qui endeuille durablement la région de la Mé.
Les victimes de la toxi-infection alimentaire reçoivent actuellement des soins dans les établissements sanitaires du département d'Adzopé et de ses environs. Les équipes médicales restent mobilisées pour prendre en charge les cas les plus graves et surveiller l'évolution de l'état de santé des personnes intoxiquées.
La présence du gouvernement aux funérailles traduit la volonté des autorités d'accompagner les familles dans cette épreuve. Au-delà de la compassion exprimée, l'État s'engage à apporter une assistance concrète aux proches des victimes de cette toxi-infection alimentaire. Le ministère de la Solidarité et des Affaires sociales coordonne actuellement les actions de soutien.
Les victimes de la toxi-infection alimentaire reçoivent actuellement des soins dans les établissements sanitaires du département d'Adzopé et de ses environs. Les équipes médicales restent mobilisées pour prendre en charge les cas les plus graves et surveiller l'évolution de l'état de santé des personnes intoxiquées.
La présence du gouvernement aux funérailles traduit la volonté des autorités d'accompagner les familles dans cette épreuve. Au-delà de la compassion exprimée, l'État s'engage à apporter une assistance concrète aux proches des victimes de cette toxi-infection alimentaire. Le ministère de la Solidarité et des Affaires sociales coordonne actuellement les actions de soutien.







