Jean-Michel Aulas, vice-président de la Fédération Française de Football et président de la Ligue de Football Féminin Professionnel, mène une mission officielle à Abidjan depuis lundi 30 juin 2025. Cette visite vise à finaliser l'organisation de la finale de la Ligue Féminine Professionnelle française prévue le 14 mars 2026 au stade Félix Houphouët-Boigny.
Accompagné d'une délégation française, l'ancien dirigeant de l'Olympique Lyonnais a entamé une série de rencontres de haut niveau avec les autorités ivoiriennes. Il a d'abord été reçu par le ministre délégué chargé des sports et du cadre de vie, avant de s'entretenir avec le Premier ministre ivoirien. Ces échanges ont permis de consolider les bases de cette collaboration sportive internationale d'envergure.
Accompagné d'une délégation française, l'ancien dirigeant de l'Olympique Lyonnais a entamé une série de rencontres de haut niveau avec les autorités ivoiriennes. Il a d'abord été reçu par le ministre délégué chargé des sports et du cadre de vie, avant de s'entretenir avec le Premier ministre ivoirien. Ces échanges ont permis de consolider les bases de cette collaboration sportive internationale d'envergure.
Ambitions européennes affichées
Dans l'après-midi, la délégation française s'est rendue au siège de la Fédération Ivoirienne de Football, où elle a été chaleureusement accueillie par le président Yacine Idriss Diallo. L'occasion pour Aulas de présenter les ambitions de cette grande finale féminine et les opportunités qu'elle représente pour le rayonnement du football féminin français.
"Nous travaillons pour faire en sorte que cette Ligue de Football Féminin soit la meilleure en Europe, et que le championnat attire les meilleures joueuses ainsi que les investisseurs", a souligné Jean-Michel Aulas lors de cette rencontre. Cette déclaration témoigne de la volonté française de développer l'attractivité de son championnat féminin sur la scène internationale.
"Nous travaillons pour faire en sorte que cette Ligue de Football Féminin soit la meilleure en Europe, et que le championnat attire les meilleures joueuses ainsi que les investisseurs", a souligné Jean-Michel Aulas lors de cette rencontre. Cette déclaration témoigne de la volonté française de développer l'attractivité de son championnat féminin sur la scène internationale.
Partenariat franco-ivoirien renforcé
Le président de la FIF a salué cette initiative inédite, exprimant son admiration et sa volonté d'apprendre de l'expérience française dans le développement du football féminin. "On va s'inspirer de votre expérience. On a la chance d'avoir des précurseurs", a déclaré Yacine Idriss Diallo, marquant l'intérêt ivoirien pour ce transfert de savoir-faire.
Cette finale prévue en terre ivoirienne s'annonce comme un événement sportif d'envergure, symbolisant le partenariat croissant entre la France et la Côte d'Ivoire. L'organisation de cette finale à Abidjan constitue également une première dans l'histoire du football féminin français, habituellement cantonné aux stades hexagonaux.
Au-delà de l'aspect sportif, cette délocalisation répond à des enjeux économiques et de rayonnement international. Le choix d'Abidjan permet d'ouvrir de nouveaux marchés au football féminin français, notamment sur le continent africain où la popularité du football ne cesse de croître.
Le stade Félix Houphouët-Boigny, d'une capacité de 60 000 places, offre un cadre prestigieux pour cette finale historique. Cette infrastructure moderne permettra d'accueillir dans des conditions optimales les équipes finalistes et les supporters français qui feront le déplacement.
Les retombées économiques pour la Côte d'Ivoire sont également attendues, avec l'arrivée de délégations, de médias internationaux et de supporters. Cette collaboration sportive franco-ivoirienne pourrait ouvrir la voie à d'autres événements similaires, renforçant les liens entre les deux nations dans le domaine du sport.
Cette finale prévue en terre ivoirienne s'annonce comme un événement sportif d'envergure, symbolisant le partenariat croissant entre la France et la Côte d'Ivoire. L'organisation de cette finale à Abidjan constitue également une première dans l'histoire du football féminin français, habituellement cantonné aux stades hexagonaux.
Au-delà de l'aspect sportif, cette délocalisation répond à des enjeux économiques et de rayonnement international. Le choix d'Abidjan permet d'ouvrir de nouveaux marchés au football féminin français, notamment sur le continent africain où la popularité du football ne cesse de croître.
Le stade Félix Houphouët-Boigny, d'une capacité de 60 000 places, offre un cadre prestigieux pour cette finale historique. Cette infrastructure moderne permettra d'accueillir dans des conditions optimales les équipes finalistes et les supporters français qui feront le déplacement.
Les retombées économiques pour la Côte d'Ivoire sont également attendues, avec l'arrivée de délégations, de médias internationaux et de supporters. Cette collaboration sportive franco-ivoirienne pourrait ouvrir la voie à d'autres événements similaires, renforçant les liens entre les deux nations dans le domaine du sport.