Arrestation de Damana Pickass, Ahoua Don Mello prend position © Crédit photo DR
Le candidat à la présidentielle ivoirienne 2025, Ahoua Don Mello, a réclamé ce mercredi 6 novembre 2025 le respect des droits de Damana Adia Pickass, vice-président du PPA-CI arrêté mardi à Bingerville pour appel à l'insurrection.
Damana Adia Pickass a été interpellé le 4 novembre par la police nationale, selon un communiqué du Procureur de la République près le Tribunal de Première Instance d'Abidjan. Il lui est reproché d'avoir appelé à une insurrection populaire et au renversement des institutions de la République.
"Nous invitons les autorités à faire respecter les droits de Monsieur Damana Adia Pickass et lui donner droit à une assistance juridique et judiciaire", a déclaré Ahoua Don Mello dans un communiqué transmis par son directeur de la communication Ahile Fernand. L'ancien cadre du PPA-CI, parti dirigé par Laurent Gbagbo, a également demandé que la famille du vice-président arrêté puisse "aisément le voir".
Le candidat présidentiel a évoqué d'autres détentions pendant la période électorale, citant le ministre Lida Kouassi Moïse, l'ambassadeur Koné Boubacar, Lasm Ny Blaise, Kéké Joël et le vice-président du PDCI-RDA Kouassi Yao. Près de 700 personnes auraient été récemment arrêtées, selon son communiqué.
Ahoua Don-Mello a appelé le président fraîchement élu à prendre "des mesures d'apaisement pour décrisper l'atmosphère politique". L'arrestation de Damana Adia Pickass avait d'abord circulé sur les réseaux sociaux mardi soir avant la confirmation officielle du parquet.
Les autorités judiciaires n'ont pas précisé la date de présentation de Damana Adia Pickass devant un juge. La direction du PPA-CI n'a pas encore réagi publiquement à cette interpellation.
Damana Adia Pickass a été interpellé le 4 novembre par la police nationale, selon un communiqué du Procureur de la République près le Tribunal de Première Instance d'Abidjan. Il lui est reproché d'avoir appelé à une insurrection populaire et au renversement des institutions de la République.
"Nous invitons les autorités à faire respecter les droits de Monsieur Damana Adia Pickass et lui donner droit à une assistance juridique et judiciaire", a déclaré Ahoua Don Mello dans un communiqué transmis par son directeur de la communication Ahile Fernand. L'ancien cadre du PPA-CI, parti dirigé par Laurent Gbagbo, a également demandé que la famille du vice-président arrêté puisse "aisément le voir".
Le candidat présidentiel a évoqué d'autres détentions pendant la période électorale, citant le ministre Lida Kouassi Moïse, l'ambassadeur Koné Boubacar, Lasm Ny Blaise, Kéké Joël et le vice-président du PDCI-RDA Kouassi Yao. Près de 700 personnes auraient été récemment arrêtées, selon son communiqué.
Ahoua Don-Mello a appelé le président fraîchement élu à prendre "des mesures d'apaisement pour décrisper l'atmosphère politique". L'arrestation de Damana Adia Pickass avait d'abord circulé sur les réseaux sociaux mardi soir avant la confirmation officielle du parquet.
Les autorités judiciaires n'ont pas précisé la date de présentation de Damana Adia Pickass devant un juge. La direction du PPA-CI n'a pas encore réagi publiquement à cette interpellation.