La Commission électorale indépendante (CEI) de Côte d'Ivoire a fixé le samedi 14 décembre 2025 la période de campagne pour les législatives ivoiriennes du 27 décembre, qui se tiendra du 19 au 26 décembre, soit huit jours.
"La campagne législatives Côte d'Ivoire s'ouvre le 19 décembre pour s'achever le 26 décembre 2025", a déclaré Alain Dogou, président de la sous-commission formation de la CEI, lors d'une session de formation des candidats à Abidjan.
Souleymane Doumbia, conseiller technique des affaires juridiques, a souligné que les préfets et les militaires ne peuvent pas "participer" aux réunions électorales durant la campagne législatives Côte d'Ivoire.
Pour voter, les électeurs devront présenter leur carte nationale d'identité ou leur carte d'électeur. Les agents vérifieront les données biométriques en l'absence de CNI valide, a expliqué Edouard Djossou, directeur des études de la CEI.
L'usage du téléphone sera interdit dans les bureaux de vote pour "préserver le secret du vote", a précisé M. Djossou.
Les candidats disposeront de cinq jours après la proclamation des résultats provisoires pour contester l'élection auprès du Conseil constitutionnel.
"La campagne législatives Côte d'Ivoire s'ouvre le 19 décembre pour s'achever le 26 décembre 2025", a déclaré Alain Dogou, président de la sous-commission formation de la CEI, lors d'une session de formation des candidats à Abidjan.
Souleymane Doumbia, conseiller technique des affaires juridiques, a souligné que les préfets et les militaires ne peuvent pas "participer" aux réunions électorales durant la campagne législatives Côte d'Ivoire.
Pour voter, les électeurs devront présenter leur carte nationale d'identité ou leur carte d'électeur. Les agents vérifieront les données biométriques en l'absence de CNI valide, a expliqué Edouard Djossou, directeur des études de la CEI.
L'usage du téléphone sera interdit dans les bureaux de vote pour "préserver le secret du vote", a précisé M. Djossou.
Les candidats disposeront de cinq jours après la proclamation des résultats provisoires pour contester l'élection auprès du Conseil constitutionnel.






