Une accusation grave et directe. Justin Koné Katinan n'a pas mâché ses mots lors de la 38e tribune hebdomadaire du PPA-CI le jeudi 3 juillet 2025. Le président du Conseil stratégie et politique du parti a directement visé le RHDP : « Depuis 2010, le RHDP n'a jamais gagné une élection à la loyale. » Cette déclaration choc intervient dans un contexte de tensions préélectorales exacerbées par la perspective d'un quatrième mandat d'Alassane Ouattara.
Selon le dirigeant du PPA-CI, cette pratique constitue « une constante de la vie politique et de l'approche politique du RHDP ». Il dénonce une stratégie délibérée visant à « créer artificiellement des crises et d'en tirer profit pour être le seul candidat, ou du moins, un candidat avec des candidats favoris ».
Selon le dirigeant du PPA-CI, cette pratique constitue « une constante de la vie politique et de l'approche politique du RHDP ». Il dénonce une stratégie délibérée visant à « créer artificiellement des crises et d'en tirer profit pour être le seul candidat, ou du moins, un candidat avec des candidats favoris ».
La stratégie dénoncée du parti au pouvoir
Koné Katinan développe son argumentaire en pointant du doigt une méthode qu'il juge récurrente. « C'est une constante de leur approche politique de créer artificiellement des crises pour en tirer profit », a-t-il martelé devant les militants du PPA-CI. Cette accusation s'inscrit dans la dénonciation d'une « crise préélectorale » que l'opposition attribue directement au RHDP.
Le dirigeant du parti de Laurent Gbagbo établit un parallèle entre cette supposée manipulation et la situation actuelle. « L'opinion nationale et internationale est d'accord pour dire que le pays est en crise préélectorale », a-t-il affirmé, imputant cette responsabilité au parti au pouvoir.
Ces accusations s'articulent autour des revendications portées par le front commun PPA-CI/PDCI. L'opposition réclame notamment la réforme structurelle de la Commission électorale indépendante (CEI) « afin de garantir son indépendance et permettre une proclamation transparente des résultats bureau par bureau ».
Cette exigence de transparence s'accompagne d'autres revendications : la révision de la liste électorale 2025, la réinsertion de Laurent Gbagbo, Tidjane Thiam, Guillaume Soro et Charles Blé Goudé sur les listes électorales, ainsi que l'ouverture d'un dialogue politique inclusif.
Le dirigeant du parti de Laurent Gbagbo établit un parallèle entre cette supposée manipulation et la situation actuelle. « L'opinion nationale et internationale est d'accord pour dire que le pays est en crise préélectorale », a-t-il affirmé, imputant cette responsabilité au parti au pouvoir.
Ces accusations s'articulent autour des revendications portées par le front commun PPA-CI/PDCI. L'opposition réclame notamment la réforme structurelle de la Commission électorale indépendante (CEI) « afin de garantir son indépendance et permettre une proclamation transparente des résultats bureau par bureau ».
Cette exigence de transparence s'accompagne d'autres revendications : la révision de la liste électorale 2025, la réinsertion de Laurent Gbagbo, Tidjane Thiam, Guillaume Soro et Charles Blé Goudé sur les listes électorales, ainsi que l'ouverture d'un dialogue politique inclusif.
L'avertissement du PPA-CI pour 2025
Face à ces pratiques dénoncées, Justin Koné Katinan a lancé un avertissement ferme : « Cela ne passera pas, cette fois-ci. » Le dirigeant du PPA-CI entend mobiliser l'opinion autour du mouvement « Trop c'est Trop », présenté comme une réponse collective à la gouvernance du RHDP.
Cette mobilisation s'inscrit dans l'appel de Laurent Gbagbo à une « coalition active, portée par une détermination sans faille, sans violence, pour exprimer le ras-le-bol de toute la population ivoirienne ». Le PPA-CI mise sur cette dynamique pour contrer ce qu'il considère comme une tentative de manipulation électorale en 2025.
Le parti de l'ex-président ivoirien semble ainsi poser les bases d'une contestation préventive, dénonçant par avance toute irrégularité dans l'organisation du scrutin présidentiel à venir.
Cette mobilisation s'inscrit dans l'appel de Laurent Gbagbo à une « coalition active, portée par une détermination sans faille, sans violence, pour exprimer le ras-le-bol de toute la population ivoirienne ». Le PPA-CI mise sur cette dynamique pour contrer ce qu'il considère comme une tentative de manipulation électorale en 2025.
Le parti de l'ex-président ivoirien semble ainsi poser les bases d'une contestation préventive, dénonçant par avance toute irrégularité dans l'organisation du scrutin présidentiel à venir.