L’INP-HB de Côte d’Ivoire grimpe à la 27ᵉ place africaine selon le Top University Rank 2025 © Crédit photo DR
L’Institut National Polytechnique Félix Houphouët-Boigny (INP-HB) de Yamoussoukro s’impose un peu plus dans le paysage académique africain. Selon le classement 2025 du Top University Rank (TUR) publié par Research Analytics International, l’établissement ivoirien occupe désormais la 27ᵉ place à l’échelle continentale, contre la 36ᵉ en 2024.
Avec cette progression de neuf rangs en un an, l’INP-HB consolide son statut de 2ᵉ meilleure université francophone d’Afrique. Cette performance confirme son attractivité auprès des étudiants, mais aussi son poids dans la recherche et l’innovation sur le continent.
Avec cette progression de neuf rangs en un an, l’INP-HB consolide son statut de 2ᵉ meilleure université francophone d’Afrique. Cette performance confirme son attractivité auprès des étudiants, mais aussi son poids dans la recherche et l’innovation sur le continent.
Une progression rapide
Cette évolution notable illustre la dynamique enclenchée depuis plusieurs années par l’établissement. Le classement s’appuie sur trois critères principaux : la qualité de l’enseignement, la production scientifique et l’impact sociétal. L’INP-HB a obtenu une note de 93,8 dans la catégorie « engagement des étudiants », un indicateur rarement aussi élevé en Afrique.
Cette reconnaissance souligne la capacité de l’institution à impliquer ses étudiants dans la vie académique et communautaire. Ceux-ci ne se limitent pas à recevoir un enseignement : ils participent activement à des projets de recherche, d’innovation et de développement local.
Cette reconnaissance souligne la capacité de l’institution à impliquer ses étudiants dans la vie académique et communautaire. Ceux-ci ne se limitent pas à recevoir un enseignement : ils participent activement à des projets de recherche, d’innovation et de développement local.
D’autres établissements ivoiriens en progression
Le classement 2025 fait également ressortir l’entrée de deux nouvelles institutions ivoiriennes. L’École Nationale Supérieure de Statistique et d’Économie Appliquée (ENSEA) figure désormais au 114ᵉ rang africain, tandis que l’École Supérieure Africaine des TIC (ESATIC) se hisse à la 146ᵉ place. Ces résultats traduisent un mouvement plus large de montée en puissance des établissements ivoiriens dans l’enseignement supérieur.
Sur le plan francophone, l’Université Mohammed VI Polytechnique, basée au Maroc, occupe la 23ᵉ position africaine, devançant légèrement l’INP-HB. Elle succède à l’Université Mohammed VI, qui recule cette année à la 34ᵉ place continentale et à la 3ᵉ francophone.
Pour la Côte d’Ivoire, cette avancée académique s’inscrit dans une stratégie nationale visant à faire de l’enseignement supérieur un levier de développement. L’INP-HB, qui compte plusieurs milliers d’étudiants, bénéficie d’une visibilité renforcée sur le plan international.
Au niveau mondial, le trio de tête reste dominé par l’Université d’Oxford, suivie du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et de Harvard. Si l’écart reste important avec ces mastodontes, l’INP-HB démontre qu’un établissement africain peut gravir rapidement les échelons et peser dans un environnement académique de plus en plus compétitif.
Sur le plan francophone, l’Université Mohammed VI Polytechnique, basée au Maroc, occupe la 23ᵉ position africaine, devançant légèrement l’INP-HB. Elle succède à l’Université Mohammed VI, qui recule cette année à la 34ᵉ place continentale et à la 3ᵉ francophone.
Pour la Côte d’Ivoire, cette avancée académique s’inscrit dans une stratégie nationale visant à faire de l’enseignement supérieur un levier de développement. L’INP-HB, qui compte plusieurs milliers d’étudiants, bénéficie d’une visibilité renforcée sur le plan international.
Au niveau mondial, le trio de tête reste dominé par l’Université d’Oxford, suivie du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et de Harvard. Si l’écart reste important avec ces mastodontes, l’INP-HB démontre qu’un établissement africain peut gravir rapidement les échelons et peser dans un environnement académique de plus en plus compétitif.