a CEI a expliqué le 13 décembre 2025 le mode opératoire des législatives en Côte d'Ivoire du 27 décembre 2025 © Crédit photo DR
Les élections législatives en Côte d'Ivoire 2025 approchent à grands pas. Samedi 13 décembre, la Commission électorale indépendante (CEI) a réuni les candidats à l'Assemblée nationale pour leur expliquer le mode opératoire et les dispositions légales du scrutin. À une semaine du lancement de la campagne, les règles du jeu sont désormais claires pour tous les acteurs politiques qui briguent un siège de député.
Alain Dogou, président de la sous-commission formation de la CEI, a ouvert la session en insistant sur un point précis. Le personnel d'astreinte ne pourra pas voter là où il est en mission. Ces agents devront se rendre dans leur circonscription d'inscription pour participer à l'élection législative en Côte d'Ivoire. « C'est pour éviter que leurs votes influencent le résultat de l'élection locale », a-t-il expliqué, rappelant que les députés doivent défendre les causes de leur population.
Alain Dogou, président de la sous-commission formation de la CEI, a ouvert la session en insistant sur un point précis. Le personnel d'astreinte ne pourra pas voter là où il est en mission. Ces agents devront se rendre dans leur circonscription d'inscription pour participer à l'élection législative en Côte d'Ivoire. « C'est pour éviter que leurs votes influencent le résultat de l'élection locale », a-t-il expliqué, rappelant que les députés doivent défendre les causes de leur population.
Une campagne de huit jours
La campagne des législatives en Côte d'Ivoire 2025 démarrera le 19 décembre et s'achèvera le 26 décembre 2025, soit huit jours avant le scrutin fixé au 27 décembre. Souleymane Doumbia, conseiller technique des affaires juridiques du président de la CEI, a détaillé les restrictions. Les préfets et les militaires ne peuvent pas « participer » aux réunions électorales, a-t-il souligné lors de son exposé sur les dispositions légales.
Le jour du vote, les électeurs devront présenter leur carte nationale d'identité ou leur carte d'électeur. Edouard Djossou, directeur des études et de l'éducation civique de la CEI, a précisé qu'en l'absence de CNI en cours de validité, les agents pourront vérifier les données biométriques sur la tablette électorale. « L'esprit, c'est de préserver le secret du vote », a-t-il insisté.
Point important : l'usage du téléphone sera prohibé pendant le vote. « Si l'électeur a dans sa poche un téléphone, on ne le fouillera pas, on ne le palpera pas, on lui signifiera que l'usage du téléphone dans le bureau de vote est interdit », a indiqué M. Djossou. Seul le président du bureau de vote pourra autoriser les journalistes à faire des prises de vues, sans perturber le déroulement du scrutin.
Après la fermeture des bureaux, le dépouillement démarrera immédiatement. Le président de chaque bureau proclamera les résultats provisoires et rédigera des procès-verbaux signés par les représentants des candidats. Ces derniers devront être inscrits sur la liste électorale de la circonscription concernée pour pouvoir exercer cette fonction lors de l'élection législative Côte d'Ivoire.
Le jour du vote, les électeurs devront présenter leur carte nationale d'identité ou leur carte d'électeur. Edouard Djossou, directeur des études et de l'éducation civique de la CEI, a précisé qu'en l'absence de CNI en cours de validité, les agents pourront vérifier les données biométriques sur la tablette électorale. « L'esprit, c'est de préserver le secret du vote », a-t-il insisté.
Point important : l'usage du téléphone sera prohibé pendant le vote. « Si l'électeur a dans sa poche un téléphone, on ne le fouillera pas, on ne le palpera pas, on lui signifiera que l'usage du téléphone dans le bureau de vote est interdit », a indiqué M. Djossou. Seul le président du bureau de vote pourra autoriser les journalistes à faire des prises de vues, sans perturber le déroulement du scrutin.
Après la fermeture des bureaux, le dépouillement démarrera immédiatement. Le président de chaque bureau proclamera les résultats provisoires et rédigera des procès-verbaux signés par les représentants des candidats. Ces derniers devront être inscrits sur la liste électorale de la circonscription concernée pour pouvoir exercer cette fonction lors de l'élection législative Côte d'Ivoire.
Cinq jours pour contester
Dr Doumbia a rappelé que tout candidat ou parti politique dispose de cinq jours pour contester les résultats provisoires des législatives en Côte d'Ivoire 2025 auprès du Conseil constitutionnel. L'instance suprême instruit ensuite l'affaire et donne 48 heures à l'élu concerné pour produire ses observations écrites. Les présidents de bureaux de vote transmettront cinq exemplaires du procès-verbal à la CEI pour le recensement général des votes.
La CEI a également précisé les incompatibilités. Le mandat de député ne peut pas être cumulé avec les fonctions de membre de la Chambre nationale des rois et chefs traditionnels, ni avec celles de membre des Cabinets présidentiels et ministériels. Il est également incompatible avec le mandat de sénateur. Les élections législatives en Côte d'Ivoire 2025 du 27 décembre devraient permettre de renouveler l'Assemblée nationale dans un climat apaisé, selon les organisateurs.
La CEI a également précisé les incompatibilités. Le mandat de député ne peut pas être cumulé avec les fonctions de membre de la Chambre nationale des rois et chefs traditionnels, ni avec celles de membre des Cabinets présidentiels et ministériels. Il est également incompatible avec le mandat de sénateur. Les élections législatives en Côte d'Ivoire 2025 du 27 décembre devraient permettre de renouveler l'Assemblée nationale dans un climat apaisé, selon les organisateurs.





