Après leur audition, ils ont regagné le pôle pénitentiaire d’Abidjan, ex-MACA, où ils restent en détention préventive.
L’ancien ministre de la Défense, Lida Kouassi, et l’ex-directeur du protocole d’État sous Laurent Gbagbo, Boubacar Koné, tous deux cadres du PPA-CI, avaient été placés en garde à vue le 9 août 2025. Ils sont soupçonnés d’avoir participé aux violences survenues dans la nuit du 1er au 2 août à Yopougon, qui ont notamment entraîné l’incendie d’un bus de la SOTRA et la destruction d’un véhicule de police.
L’enquête pointe un lien entre déclarations xénophobes et actes commis
Selon l’enquête, Boubacar Koné aurait mandaté des jeunes pour commettre ces actes, tandis qu’un militant aurait désigné Lida Kouassi comme organisateur. Ce dernier est également visé pour des propos xénophobes tenus entre juin et juillet, accusant l’administration, la police, la justice et la gendarmerie ivoiriennes d’être « truffées d’étrangers ». Les enquêteurs cherchent à établir un lien entre ces déclarations et les violences.
Kevin AKA
L’ancien ministre de la Défense, Lida Kouassi, et l’ex-directeur du protocole d’État sous Laurent Gbagbo, Boubacar Koné, tous deux cadres du PPA-CI, avaient été placés en garde à vue le 9 août 2025. Ils sont soupçonnés d’avoir participé aux violences survenues dans la nuit du 1er au 2 août à Yopougon, qui ont notamment entraîné l’incendie d’un bus de la SOTRA et la destruction d’un véhicule de police.
L’enquête pointe un lien entre déclarations xénophobes et actes commis
Selon l’enquête, Boubacar Koné aurait mandaté des jeunes pour commettre ces actes, tandis qu’un militant aurait désigné Lida Kouassi comme organisateur. Ce dernier est également visé pour des propos xénophobes tenus entre juin et juillet, accusant l’administration, la police, la justice et la gendarmerie ivoiriennes d’être « truffées d’étrangers ». Les enquêteurs cherchent à établir un lien entre ces déclarations et les violences.
Kevin AKA
