Simone Gbagbo, porte-parole du CAP-CI (Opposition ivoirienne), a déclaré ce 3 juin 2025 que "les élections doivent se tenir de façon pacifique". Ses propos interviennent après l'annonce du président de la Commission électorale indépendante (CEI), Ibrahime Koulibaly-Kuibiert, concernant la liste électorale définitive pour l'élection présidentielle de 2025. L'opposition exprime ses craintes quant aux conditions électorales en Côte d'Ivoire.
La CEI a indiqué que la liste électorale définitive sera consultable à partir du 4 juin 2025. Avec 8 727 431 électeurs enregistrés, cette nouvelle liste inclut 715 000 nouveaux inscrits. Cependant, Simone Gbagbo et le CAP-CI demandent des garanties supplémentaires pour assurer des élections transparentes et pacifiques, incitant à une nouvelle fois au dialogue entre le gouvernement et l'opposition.
La CEI a indiqué que la liste électorale définitive sera consultable à partir du 4 juin 2025. Avec 8 727 431 électeurs enregistrés, cette nouvelle liste inclut 715 000 nouveaux inscrits. Cependant, Simone Gbagbo et le CAP-CI demandent des garanties supplémentaires pour assurer des élections transparentes et pacifiques, incitant à une nouvelle fois au dialogue entre le gouvernement et l'opposition.
Appel à un dialogue inclusif
Lors de sa déclaration, Simone Gbagbo a souligné l'importance d'un dialogue inclusif, affirmant : "Nous avons besoin de discuter des systèmes électoraux pour réformer ce qui doit l'être." Elle a rappelé que lors d'un meeting récent à Yopougon, les membres de la CAP-CI avaient exprimé la nécessité de garantir des élections transparentes et justes.
La porte-parole a critiqué la CEI pour ce qu’elle considère comme une absence d'écoute face aux préoccupations des partis d’opposition. "Il est inacceptable que le gouvernement continue d'ignorer nos revendications", a-t-elle ajouté. Les inquiétudes de l'opposition portent sur d'éventuelles anomalies dans le processus électoral et sur la manipulation potentielle de la liste des électeurs.
Les critiques ont conduit à un climat de méfiance entre les acteurs politiques en Côte d’Ivoire. La CEI a promis que la liste serait fiable et globale. Cependant, la réponse a été mal accueillie par Gbagbo et d'autres membres de l’opposition, qui demandent une transparence totale et un encadrement rigoureux des élections.
La porte-parole a critiqué la CEI pour ce qu’elle considère comme une absence d'écoute face aux préoccupations des partis d’opposition. "Il est inacceptable que le gouvernement continue d'ignorer nos revendications", a-t-elle ajouté. Les inquiétudes de l'opposition portent sur d'éventuelles anomalies dans le processus électoral et sur la manipulation potentielle de la liste des électeurs.
Les critiques ont conduit à un climat de méfiance entre les acteurs politiques en Côte d’Ivoire. La CEI a promis que la liste serait fiable et globale. Cependant, la réponse a été mal accueillie par Gbagbo et d'autres membres de l’opposition, qui demandent une transparence totale et un encadrement rigoureux des élections.
Vers des élections transparentes
La liste électorale définitive, selon la CEI, comprend 4 508 948 hommes et 4 218 483 femmes, mais certaines voix s'élèvent pour mettre en question l'intégrité de cette répartition. Simone Gbagbo a fait remarquer que "les chiffres peuvent cacher des réalités différentes sur le terrain". Les tensions se sont intensifiées alors que la collecte des parrainages pour les candidats ouvrira fin juin, avec un dépôt des candidatures prévu pour le 26 juillet 2025.
Ces échéances rapprochées suscitent des inquiétudes au sein de l'opposition, qui craint que des décisions hâtives puissent compromettre la qualité du processus électoral. Elle appelle à des discussions constructives pour établir un cadre qui garantisse la justice et l’équité nécessaires pour des élections paisibles.
Gbagbo conclut sa déclaration en répétant que "les élections doivent être un processus apaisé, et cela passe par un engagement sérieux du gouvernement pour dialoguer". Son message témoigne d'une volonté claire d'œuvrer pour une Côte d'Ivoire unie et respectueuse des droits de chacun, dans un contexte politique déjà tendu.
Ces échéances rapprochées suscitent des inquiétudes au sein de l'opposition, qui craint que des décisions hâtives puissent compromettre la qualité du processus électoral. Elle appelle à des discussions constructives pour établir un cadre qui garantisse la justice et l’équité nécessaires pour des élections paisibles.
Gbagbo conclut sa déclaration en répétant que "les élections doivent être un processus apaisé, et cela passe par un engagement sérieux du gouvernement pour dialoguer". Son message témoigne d'une volonté claire d'œuvrer pour une Côte d'Ivoire unie et respectueuse des droits de chacun, dans un contexte politique déjà tendu.