Laurent Gbagbo est désormais officiellement candidat à la présidentielle d’octobre 2025. Le Parti des Peuples Africains (PPA-CI) a procédé lundi 25 août au dépôt de son dossier complet auprès de la Commission électorale indépendante (CEI). « Nous y voilà donc ! », a déclaré Steve Beko, cadre du parti, en saluant une étape jugée décisive dans la stratégie de l’ancien président.
Le dépôt comprend tous les documents administratifs, les parrainages requis et le chèque de caution de 50 millions de francs CFA. L’affaire est désormais entre les mains du Conseil constitutionnel, présidé par Chantal Camara.
Le dépôt comprend tous les documents administratifs, les parrainages requis et le chèque de caution de 50 millions de francs CFA. L’affaire est désormais entre les mains du Conseil constitutionnel, présidé par Chantal Camara.
Un choix assumé malgré les pressions
Pour Steve Beko, ce geste dépasse la simple participation électorale : « Ce qui se joue ici n’est pas seulement une élection présidentielle. C’est un combat entre ceux qui s’accommodent de l’injustice et ceux qui la combattent. » Le cadre du PPA-CI insiste sur le respect des principes du parti : « Sans recourir à la violence, nous sommes allés au bout de notre démarche. »
Cette candidature survient après plusieurs années de contentieux politiques et judiciaires autour de Laurent Gbagbo. Son arrestation en 2011, son transfert à la CPI, son acquittement puis son retour difficile en Côte d’Ivoire ont rythmé la vie politique nationale.
Steve Beko rappelle que l’ancien président a dû surmonter de nombreux obstacles : refus de délivrance de passeport, contestation de ses droits civiques et blocages autour de la création du PPA-CI. « Nous avons fait des compromis mais jamais de compromission », souligne-t-il, en référence à la résistance du parti face aux pressions.
Derrière cette candidature, le PPA-CI veut présenter un front uni. « Nous avons pris l’histoire et les hommes à témoin. Avons-nous fait le bon choix ? L’avenir nous le dira », conclut Beko.
Cette candidature survient après plusieurs années de contentieux politiques et judiciaires autour de Laurent Gbagbo. Son arrestation en 2011, son transfert à la CPI, son acquittement puis son retour difficile en Côte d’Ivoire ont rythmé la vie politique nationale.
Steve Beko rappelle que l’ancien président a dû surmonter de nombreux obstacles : refus de délivrance de passeport, contestation de ses droits civiques et blocages autour de la création du PPA-CI. « Nous avons fait des compromis mais jamais de compromission », souligne-t-il, en référence à la résistance du parti face aux pressions.
Derrière cette candidature, le PPA-CI veut présenter un front uni. « Nous avons pris l’histoire et les hommes à témoin. Avons-nous fait le bon choix ? L’avenir nous le dira », conclut Beko.