
Un bus SOTRA incendié et un véhicule de la police endommagé à Yopougon dans la nuit du 1er au 2 août © Crédit photo DR
Des individus armés de machettes ont semé la terreur dans la commune de Yopougon. Entre 23h et minuit, des personnes armées de machettes, gourdins et cocktails Molotov ont pris pour cible un bus express SOTRA et un véhicule de la Police nationale. Le groupe, parti de Niangon, s'est dirigé vers le Petit Toit Rouge avant d'atteindre le secteur Sapeur-Pompier.
Les forces de l'ordre ont rapidement réagi à cette agression. À leur arrivée sur les lieux, les agresseurs se sont dispersés dans les quartiers environnants, abandonnant derrière eux deux véhicules endommagés. Les agents de police occupant le véhicule visé ont préféré l'abandonner et démarrer précipitamment pour éviter l'affrontement direct.
Les forces de l'ordre ont rapidement réagi à cette agression. À leur arrivée sur les lieux, les agresseurs se sont dispersés dans les quartiers environnants, abandonnant derrière eux deux véhicules endommagés. Les agents de police occupant le véhicule visé ont préféré l'abandonner et démarrer précipitamment pour éviter l'affrontement direct.
Deux véhicules publics détruits
Le bilan matériel s'avère lourd pour les services publics ivoiriens. Le bus SOTRA, entièrement incendié représente une perte importante pour la société de transport. Ce véhicule assurait la desserte des quartiers populaires de Yopougon, privant temporairement les usagers de cette ligne stratégique. Le véhicule de police, bien qu'endommagé, n'a pas subi de destruction totale.
Cette attaque interroge sur les motivations de ces personnes. Les autorités n'ont pas encore communiqué sur les raisons de cette agression ni sur l'identité des responsables. Paradoxalement, cette violence n'a fait aucune victime humaine. L'enquête policière s'oriente désormais vers l'identification de ces personnes qui ont semé la panique à Yopougon.
Cette attaque interroge sur les motivations de ces personnes. Les autorités n'ont pas encore communiqué sur les raisons de cette agression ni sur l'identité des responsables. Paradoxalement, cette violence n'a fait aucune victime humaine. L'enquête policière s'oriente désormais vers l'identification de ces personnes qui ont semé la panique à Yopougon.