À Abidjan, Ouattara reçoit Goodluck Jonathan et la mission d'observation UA-CEDEAO avant le scrutin du 25 octobre © Crédit photo DR
Le président ivoirien Alassane Ouattara a reçu vendredi une délégation de haut niveau d'observateurs internationaux, conduite par Goodluck Jonathan, ancien président du Nigéria et chef de la délégation du Forum Ouest-Africain des Sages.
La mission comprenait également Yemi Osinbajo, ancien vice-président du Nigéria, qui dirige la mission d'observation conjointe de l'Union Africaine et de la CEDEAO pour l'élection présidentielle prévue ce samedi 25 octobre.
Au terme de l'entretien, le président Ouattara a "réaffirmé l'engagement du Gouvernement à garantir le bon déroulement de l'élection présidentielle du 25 octobre 2025, dans un climat de paix, de stabilité et de transparence", selon la présidence ivoirienne.
Les deux chefs de mission ont de leur côté "salué la qualité du processus électoral en cours". Ils ont lancé un appel aux Ivoiriens, "en particulier les jeunes, à voter massivement dans la paix et à rejeter toute forme de violence, afin de préserver la stabilité du pays, indispensable au développement".
Cette rencontre intervient à moins de 24 heures du scrutin présidentiel, dans un contexte politique tendu marqué par des contestations de l'opposition sur la régularité du processus électoral.
La mission comprenait également Yemi Osinbajo, ancien vice-président du Nigéria, qui dirige la mission d'observation conjointe de l'Union Africaine et de la CEDEAO pour l'élection présidentielle prévue ce samedi 25 octobre.
Au terme de l'entretien, le président Ouattara a "réaffirmé l'engagement du Gouvernement à garantir le bon déroulement de l'élection présidentielle du 25 octobre 2025, dans un climat de paix, de stabilité et de transparence", selon la présidence ivoirienne.
Les deux chefs de mission ont de leur côté "salué la qualité du processus électoral en cours". Ils ont lancé un appel aux Ivoiriens, "en particulier les jeunes, à voter massivement dans la paix et à rejeter toute forme de violence, afin de préserver la stabilité du pays, indispensable au développement".
Cette rencontre intervient à moins de 24 heures du scrutin présidentiel, dans un contexte politique tendu marqué par des contestations de l'opposition sur la régularité du processus électoral.





