Ali Diarrassouba tacle Fabrice Lago dit Steve Beko après son départ du plateau de NCI 360 en plein direct © Crédit photo DR
Ali Diarrassouba monte au créneau après l'incident du 10 août 2025 sur son plateau de NCI 360. Le présentateur vedette de la chaîne ivoirienne ne décolère pas depuis le départ en direct de Fabrice Lago, représentant du Front commun PPA-CI PDCI. Un incident qui a marqué les esprits et provoqué la colère du journaliste.
"C'est un manque de respect", lance sans détour Ali Diarrassouba dans sa mise au point diffusée le soir même. Le présentateur ne mâche pas ses mots pour condamner ce qu'il considère comme un affront personnel et professionnel.
Cette sortie médiatique de Diarrassouba témoigne de l'exaspération des professionnels de l'information face aux stratégies de communication des partis politiques. Le présentateur revendique le droit de mener ses débats selon ses propres règles, sans subir les caprices de ses invités.
"C'est un manque de respect", lance sans détour Ali Diarrassouba dans sa mise au point diffusée le soir même. Le présentateur ne mâche pas ses mots pour condamner ce qu'il considère comme un affront personnel et professionnel.
Cette sortie médiatique de Diarrassouba témoigne de l'exaspération des professionnels de l'information face aux stratégies de communication des partis politiques. Le présentateur revendique le droit de mener ses débats selon ses propres règles, sans subir les caprices de ses invités.
Une invitation en bonne et due forme
Le présentateur de NCI 360 rappelle les circonstances de l'invitation lancée à Fabrice Lago. "Il s'agissait d'une invitation adressée, en accord avec les responsables du Front Commun, qui ont désigné M. Fabrice LAGO pour les représenter", précise-t-il dans sa déclaration officielle.
Cette précision vise à couper court aux éventuelles critiques sur la légitimité de la présence de Lago sur le plateau. Diarrassouba insiste sur le fait que la démarche respectait les codes de la profession et les accords passés avec les responsables politiques du Front commun.
Le présentateur souligne également l'absurdité de la situation créée par son invité. "Lorsqu'on a un préalable, on ne vient pas à une émission pour ensuite, en cours de programme, donner son point de vue sur un sujet d'actualité et, finalement, quitter le plateau", déplore-t-il avec amertume.
Cette précision vise à couper court aux éventuelles critiques sur la légitimité de la présence de Lago sur le plateau. Diarrassouba insiste sur le fait que la démarche respectait les codes de la profession et les accords passés avec les responsables politiques du Front commun.
Le présentateur souligne également l'absurdité de la situation créée par son invité. "Lorsqu'on a un préalable, on ne vient pas à une émission pour ensuite, en cours de programme, donner son point de vue sur un sujet d'actualité et, finalement, quitter le plateau", déplore-t-il avec amertume.
Un affront aux règles
Ali Diarrassouba élargit sa critique au-delà du cas personnel de Fabrice Lago. Pour lui, ce départ constitue "un manque de respect non seulement envers les autres invités, mais aussi envers ceux qui animent cette émission". Une double faute qui touche à l'éthique professionnelle et à la courtoisie élémentaire.
Cette position ferme du présentateur reflète sa volonté de préserver l'intégrité de son émission face aux manœuvres politiciennes. Il refuse que son plateau devienne un simple outil de communication partisan, utilisé puis abandonné selon les intérêts du moment.
Le journaliste annonce d'ailleurs des mesures de rétorsion. "C'est une attitude qu'il faudra éviter à l'avenir. En tout état de cause, nous tirerons toutes les conséquences de cette situation", prévient-il, laissant planer la menace de sanctions futures contre les récidivistes.
Malgré sa colère, Ali Diarrassouba réaffirme son attachement au débat démocratique. "Nous avons toujours tout mis en œuvre pour que les débats se tiennent en Côte d'Ivoire, sur NCI, car nous croyons à l'importance d'un échange ouvert et pluraliste", rappelle-t-il dans sa déclaration.
Cette profession de foi vise à démontrer que sa critique ne remet pas en cause son engagement journalistique. Le présentateur se pose en défenseur du pluralisme face aux tentatives de manipulation ou d'instrumentalisation de son émission par les acteurs politiques.
Cette position ferme du présentateur reflète sa volonté de préserver l'intégrité de son émission face aux manœuvres politiciennes. Il refuse que son plateau devienne un simple outil de communication partisan, utilisé puis abandonné selon les intérêts du moment.
Le journaliste annonce d'ailleurs des mesures de rétorsion. "C'est une attitude qu'il faudra éviter à l'avenir. En tout état de cause, nous tirerons toutes les conséquences de cette situation", prévient-il, laissant planer la menace de sanctions futures contre les récidivistes.
Malgré sa colère, Ali Diarrassouba réaffirme son attachement au débat démocratique. "Nous avons toujours tout mis en œuvre pour que les débats se tiennent en Côte d'Ivoire, sur NCI, car nous croyons à l'importance d'un échange ouvert et pluraliste", rappelle-t-il dans sa déclaration.
Cette profession de foi vise à démontrer que sa critique ne remet pas en cause son engagement journalistique. Le présentateur se pose en défenseur du pluralisme face aux tentatives de manipulation ou d'instrumentalisation de son émission par les acteurs politiques.