Barrages routiers en Côte d’Ivoire © Crédit photo DR
Les barrages routiers en Côte d’Ivoire sont de nouveau au centre de l’actualité. Lundi 25 août, le secrétaire général de l’Observatoire de la Fluidité des Transports (OFT), Dr Kouyaté Mohamed, a présenté à la presse la liste des localités habilitées à accueillir ces contrôles. Trente-trois points, définis par la note interministérielle du 25 juillet 2011, restent les seuls autorisés.
« Notre objectif est de lutter efficacement contre les entraves à la libre circulation et de renforcer la fluidité », a affirmé Dr Kouyaté, rappelant que de nombreux barrages non réglementés continuent de perturber le trafic routier et d’alourdir les trajets pour les transporteurs et les voyageurs.
« Notre objectif est de lutter efficacement contre les entraves à la libre circulation et de renforcer la fluidité », a affirmé Dr Kouyaté, rappelant que de nombreux barrages non réglementés continuent de perturber le trafic routier et d’alourdir les trajets pour les transporteurs et les voyageurs.
Des mesures pour fluidifier le trafic
Le responsable a détaillé plusieurs actions menées par le ministère des Transports, notamment la création des Comités Locaux de Fluidité et de Facilitation du Transport (CLFT) dans plusieurs régions. Des campagnes d’affichage ainsi que la matérialisation des barrages officiels ont été engagées, en particulier sur le corridor nord reliant Abidjan à Pogo et Laléraba.
Un autre projet concerne l’aménagement du corridor San Pedro–Nigouni, axe stratégique pour l’exportation et la circulation des marchandises. « Nous voulons instaurer un climat de confiance entre forces de l’ordre, transporteurs et populations », a insisté Dr Kouyaté.
Au-delà des actions institutionnelles, l’OFT appelle les conducteurs et transporteurs à adopter de bonnes pratiques. « Nous devons faire de la route un espace plus sûr et plus fluide, au service du développement national », a conclu le secrétaire général, sollicitant le soutien des médias pour renforcer la sensibilisation.
Un autre projet concerne l’aménagement du corridor San Pedro–Nigouni, axe stratégique pour l’exportation et la circulation des marchandises. « Nous voulons instaurer un climat de confiance entre forces de l’ordre, transporteurs et populations », a insisté Dr Kouyaté.
Au-delà des actions institutionnelles, l’OFT appelle les conducteurs et transporteurs à adopter de bonnes pratiques. « Nous devons faire de la route un espace plus sûr et plus fluide, au service du développement national », a conclu le secrétaire général, sollicitant le soutien des médias pour renforcer la sensibilisation.