Simone Gbagbo a appelé le RHDP à présenter un nouveau visage, déclarant : « Je demande au RHDP de nous proposer un autre candidat. » Cette affirmation illustre une défiance croissante à l'égard de la candidature d’Ouattara pour un troisième mandat. Ce constat s’inscrit dans un contexte où l’opposition ivoirienne, rassemblée autour de CAP-CI, fait entendre sa voix face à ce qui est perçu comme une continuité d'un pouvoir en place.
Ce meeting, qui a eu lieu le 31 mai 2025, est le symbole d’une opposition déterminée et mobilisée. À l’initiative de 24 partis, dont le PDCI et le MGC de Simone Gbagbo, l’événement vise à dénoncer des exclusions politiques et à revendiquer des élections transparentes. L’ancienne Première Dame a insisté : « Nous devons avoir des élections où chaque candidat, quelle que soit sa sensibilité politique, puisse concourir dans des conditions d’égalité. »
Ce meeting, qui a eu lieu le 31 mai 2025, est le symbole d’une opposition déterminée et mobilisée. À l’initiative de 24 partis, dont le PDCI et le MGC de Simone Gbagbo, l’événement vise à dénoncer des exclusions politiques et à revendiquer des élections transparentes. L’ancienne Première Dame a insisté : « Nous devons avoir des élections où chaque candidat, quelle que soit sa sensibilité politique, puisse concourir dans des conditions d’égalité. »
Critique du gouvernement en place
Les propos de Simone Gbagbo s’accompagnent d'une critique acerbe du gouvernement actuel. Lors du meeting, les participants ont exprimé leur mécontentement face aux récentes radiations de figures politiques importantes. Le PPA-CI de Laurent Gbagbo, bien qu'exclu de la coalition, est cité en exemple, son exclusion étant jugée incompatible avec une démocratie apaisée.
La CAP-CI a également souligné la nécessité d’une Commission Électorale Indépendante (CEI) sans représentant des partis politiques. Gbagbo a martelé : « Nous voulons une CEI dans laquelle il n'y a aucun représentant des partis politiques. » Cette demande souligne un désir de transparence, alors que l'opposition réclame un audit de la liste électorale pour garantir l'équité du scrutin.
La CAP-CI a également souligné la nécessité d’une Commission Électorale Indépendante (CEI) sans représentant des partis politiques. Gbagbo a martelé : « Nous voulons une CEI dans laquelle il n'y a aucun représentant des partis politiques. » Cette demande souligne un désir de transparence, alors que l'opposition réclame un audit de la liste électorale pour garantir l'équité du scrutin.
Un appel à l'unité
La fragmentation de l’opposition, illustrée par l'absence du PPA-CI lors de cette manifestation, reste un point d'inquiétude. Cependant, le meeting de Yopougon symbolise une tentative significative d'unification. Charles Blé Goudé, autre personnalité influente de l'opposition, a également partagé son optimisme quant à l'avenir, clamant : « Moi, je ne désespère pas de la Côte d’Ivoire. Ce pays là, personne n'a de ACD là-dessus. » Son message vise à rassembler les forces de l’opposition autour d’objectifs communs.
À quelques mois de la présidentielle prévue le 25 octobre 2025, la tension monte. Les éléments chiffrés aux niveaux de participation électorale plaident en faveur d'une nécessité cruciale d'augmenter la mobilisation citoyenne. La CAP-CI entend donc appeler à une vigilance accrue, afin d'éviter un retour aux violences électorales déjà vécues par le pays.
Face à une élection délicate et potentiellement explosive, la CAP-CI a émis un message fort : les électeurs doivent rester mobilisés. Le meeting de Yopougon se positionne comme une étape essentielle pour structurer la campagne de l’opposition ivoirienne.
À quelques mois de la présidentielle prévue le 25 octobre 2025, la tension monte. Les éléments chiffrés aux niveaux de participation électorale plaident en faveur d'une nécessité cruciale d'augmenter la mobilisation citoyenne. La CAP-CI entend donc appeler à une vigilance accrue, afin d'éviter un retour aux violences électorales déjà vécues par le pays.
Face à une élection délicate et potentiellement explosive, la CAP-CI a émis un message fort : les électeurs doivent rester mobilisés. Le meeting de Yopougon se positionne comme une étape essentielle pour structurer la campagne de l’opposition ivoirienne.