Le Mali a enregistré cinq cas confirmés de Mpox depuis novembre 2025, dont un cas mortel détecté dans la région de Koulikoro, ont annoncé les autorités sanitaires du pays.
Le premier cas a été identifié le 21 novembre dans le district sanitaire de Kangaba, aire de santé de Kourémalé, à la frontière avec la Guinée. Le patient est décédé au cours de la 47ᵉ semaine épidémiologique, selon une note de la Direction générale de la santé et de l'hygiène publique (DGS-HP).
Quatre autres cas de Mpox ont été confirmés par la suite à travers les investigations menées par les services de santé maliens. Un sixième cas, initialement notifié début décembre, a été retiré du décompte national car le patient n'était pas domicilié sur le territoire malien et a été rattaché à un pays voisin.
La DGS-HP rappelle que la Mpox, également appelée variole simienne, est une maladie virale à déclaration obligatoire au Mali. Les autorités sanitaires ont renforcé la surveillance épidémiologique et le suivi des contacts pour limiter la propagation du virus.
Les personnes ayant été en contact avec un cas confirmé doivent surveiller l'apparition de symptômes pendant 21 jours et signaler tout signe aux structures sanitaires. Les directions régionales ont reçu des notes de service précisant la définition des cas suspects, les modalités de suivi et les mesures d'isolement recommandées.
Dans son rapport du 8 décembre 2025, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) mentionne le Mali parmi les pays ayant récemment notifié des cas sur le continent africain, selon des données arrêtées au 23 novembre pour la région Afrique.
L'Africa CDC indique que plus de 190 000 cas de Mpox et près de 2 000 décès ont été rapportés en Afrique depuis le début de l'année 2024. Ces chiffres témoignent d'une circulation plus importante du virus dans plusieurs pays de la région.
Les autorités maliennes poursuivent la surveillance sur l'ensemble du territoire et la diffusion de messages de prévention, en lien avec les mécanismes régionaux et internationaux de notification sanitaire.
Le premier cas a été identifié le 21 novembre dans le district sanitaire de Kangaba, aire de santé de Kourémalé, à la frontière avec la Guinée. Le patient est décédé au cours de la 47ᵉ semaine épidémiologique, selon une note de la Direction générale de la santé et de l'hygiène publique (DGS-HP).
Quatre autres cas de Mpox ont été confirmés par la suite à travers les investigations menées par les services de santé maliens. Un sixième cas, initialement notifié début décembre, a été retiré du décompte national car le patient n'était pas domicilié sur le territoire malien et a été rattaché à un pays voisin.
La DGS-HP rappelle que la Mpox, également appelée variole simienne, est une maladie virale à déclaration obligatoire au Mali. Les autorités sanitaires ont renforcé la surveillance épidémiologique et le suivi des contacts pour limiter la propagation du virus.
Les personnes ayant été en contact avec un cas confirmé doivent surveiller l'apparition de symptômes pendant 21 jours et signaler tout signe aux structures sanitaires. Les directions régionales ont reçu des notes de service précisant la définition des cas suspects, les modalités de suivi et les mesures d'isolement recommandées.
Dans son rapport du 8 décembre 2025, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) mentionne le Mali parmi les pays ayant récemment notifié des cas sur le continent africain, selon des données arrêtées au 23 novembre pour la région Afrique.
L'Africa CDC indique que plus de 190 000 cas de Mpox et près de 2 000 décès ont été rapportés en Afrique depuis le début de l'année 2024. Ces chiffres témoignent d'une circulation plus importante du virus dans plusieurs pays de la région.
Les autorités maliennes poursuivent la surveillance sur l'ensemble du territoire et la diffusion de messages de prévention, en lien avec les mécanismes régionaux et internationaux de notification sanitaire.
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