Crime rituel, une femme de 27 ans tuée à Yamoussoukro © Crédit photo DR
Le meurtre rituel qui a coûté la vie à Dame O.O.M.K, 27 ans, plonge Yamoussoukro dans l'effroi. Dans la nuit du lundi 29 au mardi 30 septembre 2025, le corps de la jeune femme a été découvert dans une broussaille, présentant de multiples blessures par arme blanche. Un chauffeur de moto taxi avait alerté le Commissariat du 1er Arrondissement sur la disparition inquiétante de sa cliente. L'enquête lancée immédiatement par les forces de Police a abouti à l'arrestation de deux suspects.
Les investigations menées conjointement par le Commissariat et la Compagnie Républicaine de Sécurité numéro 3 ont permis d'identifier rapidement les auteurs présumés. Les policiers ont retrouvé le corps sans vie de la victime portant des traces de coups de couteau et de machette. Face aux enquêteurs, les deux hommes interpellés, A.Y.J, 21 ans, et K.K, 45 ans, ont reconnu les faits en affirmant avoir agi dans le cadre d'un rituel.
Leurs aveux font mention d'un mobile rituel, une affirmation qui suscite l'indignation dans la capitale politique ivoirienne. A.Y.J, le plus jeune des suspects avec seulement 21 ans, et K.K, 45 ans, seront présentés au Parquet pour la suite de la procédure judiciaire. Leurs déclarations feront l'objet d'une analyse approfondie par les magistrats instructeurs.
Ce drame ravive les préoccupations des habitants de Yamoussoukro et des autorités sur la persistance des crimes à caractère rituel. Les organisations de défense des droits humains réclament régulièrement un durcissement des sanctions contre ces actes barbares. La famille de Dame O.O.M.K attend désormais que la justice suive son cours. Les deux suspects encourent les peines les plus lourdes prévues par le Code pénal ivoirien en matière d'homicide volontaire avec préméditation.
Les investigations menées conjointement par le Commissariat et la Compagnie Républicaine de Sécurité numéro 3 ont permis d'identifier rapidement les auteurs présumés. Les policiers ont retrouvé le corps sans vie de la victime portant des traces de coups de couteau et de machette. Face aux enquêteurs, les deux hommes interpellés, A.Y.J, 21 ans, et K.K, 45 ans, ont reconnu les faits en affirmant avoir agi dans le cadre d'un rituel.
Leurs aveux font mention d'un mobile rituel, une affirmation qui suscite l'indignation dans la capitale politique ivoirienne. A.Y.J, le plus jeune des suspects avec seulement 21 ans, et K.K, 45 ans, seront présentés au Parquet pour la suite de la procédure judiciaire. Leurs déclarations feront l'objet d'une analyse approfondie par les magistrats instructeurs.
Ce drame ravive les préoccupations des habitants de Yamoussoukro et des autorités sur la persistance des crimes à caractère rituel. Les organisations de défense des droits humains réclament régulièrement un durcissement des sanctions contre ces actes barbares. La famille de Dame O.O.M.K attend désormais que la justice suive son cours. Les deux suspects encourent les peines les plus lourdes prévues par le Code pénal ivoirien en matière d'homicide volontaire avec préméditation.
