L'Union des journalistes ivoiriens (UNJCI) contre Camille Makosso : l'affaire fait grand bruit dans le milieu journalistique ivoirien. L'Union nationale des journalistes de Côte d'Ivoire (UNJCI) sort de son silence ce jeudi 25 septembre 2025 pour dénoncer fermement les agissements de Camille Makosso. L'organisation professionnelle a publié un communiqué cinglant après qu'une "récente sortie en direct sur les réseaux sociaux" de cet individu a fait polémique.
Au cœur de cette controverse, une carte de presse brandie par Makosso "présentée comme une carte de presse" officielle. Une exhibition qui a provoqué de "nombreuses réactions" dans le milieu journalistique et poussé l'UNJCI à réagir publiquement. L'organisation dirigée par Jean-Claude Coulibaly entend ainsi rappeler les règles strictes encadrant la profession de journaliste en Côte d'Ivoire.
Au cœur de cette controverse, une carte de presse brandie par Makosso "présentée comme une carte de presse" officielle. Une exhibition qui a provoqué de "nombreuses réactions" dans le milieu journalistique et poussé l'UNJCI à réagir publiquement. L'organisation dirigée par Jean-Claude Coulibaly entend ainsi rappeler les règles strictes encadrant la profession de journaliste en Côte d'Ivoire.
Les règles strictes
L'UNJCI ne laisse planer aucun doute sur la réglementation en vigueur. Dans son communiqué, l'organisation rappelle que "la carte d'identité de journaliste professionnel (CIJP) est le seul document officiel reconnu par la loi ivoirienne pour attester de la qualité de journaliste". Cette carte officielle est "délivrée par la Commission Paritaire d'Attribution de la CIJP, conformément aux dispositions légales en vigueur".
Le président Jean-Claude Coulibaly insiste sur un point fondamental : "La simple détention ou l'exhibition d'une carte dite de presse, quelle qu'en soit la provenance, ne fait pas de son détenteur un journaliste". Pour obtenir le précieux sésame, "seule l'obtention de la CIJP, assortie à l'exercice effectif du métier, confère ce statut" professionnel reconnu par la loi.
Le président Jean-Claude Coulibaly insiste sur un point fondamental : "La simple détention ou l'exhibition d'une carte dite de presse, quelle qu'en soit la provenance, ne fait pas de son détenteur un journaliste". Pour obtenir le précieux sésame, "seule l'obtention de la CIJP, assortie à l'exercice effectif du métier, confère ce statut" professionnel reconnu par la loi.
Makosso absent des fichiers officiels
L'enquête menée par l'UNJCI s'avère sans appel concernant Camille Makosso. "Après vérification, M. Camille Makosso ne figure ni sur la liste des bénéficiaires de la CIJP, ni dans les fichiers de l'UNJCI", précise le communiqué officiel. Cette absence des registres professionnels est lourde de conséquences pour l'intéressé.
"En conséquence, il ne peut être reconnu comme journaliste professionnel au sens de la loi ivoirienne, encore moins comme membre de l'UNJCI", tranche l'organisation. Cette mise au point publique vise à couper court à toute confusion dans l'opinion publique sur le statut réel de Camille Makosso.
L'UNJCI ne compte pas en rester à un simple communiqué. L'organisation "met solennellement en garde contre toute usurpation du titre de journaliste, acte strictement encadré par la loi, et se réserve le droit d'engager des poursuites judiciaires en cas de récidive". Un avertissement clair adressé à Makosso et à tous ceux qui seraient tentés par de telles pratiques.
Le président Coulibaly appelle également "le public, les institutions et les partenaires à la plus grande vigilance face à de telles pratiques". Cette démarche vise à protéger la crédibilité de la profession journalistique en Côte d'Ivoire et à lutter contre les usurpations d'identité professionnelle qui nuisent à l'image du secteur.
"En conséquence, il ne peut être reconnu comme journaliste professionnel au sens de la loi ivoirienne, encore moins comme membre de l'UNJCI", tranche l'organisation. Cette mise au point publique vise à couper court à toute confusion dans l'opinion publique sur le statut réel de Camille Makosso.
L'UNJCI ne compte pas en rester à un simple communiqué. L'organisation "met solennellement en garde contre toute usurpation du titre de journaliste, acte strictement encadré par la loi, et se réserve le droit d'engager des poursuites judiciaires en cas de récidive". Un avertissement clair adressé à Makosso et à tous ceux qui seraient tentés par de telles pratiques.
Le président Coulibaly appelle également "le public, les institutions et les partenaires à la plus grande vigilance face à de telles pratiques". Cette démarche vise à protéger la crédibilité de la profession journalistique en Côte d'Ivoire et à lutter contre les usurpations d'identité professionnelle qui nuisent à l'image du secteur.