Le mouvement "Trop c'est trop" de Laurent Gbagbo attire de nouveaux soutiens © Crédit photo DR
Le mouvement "Trop c'est trop" lancé par Laurent Gbagbo élargit son influence avec l'arrivée de nouveaux adhérents. Dans la journée de mardi, deux organisations distinctes ont officiellement rejoint cette initiative de l'ancien président ivoirien. Il s'agit du SYNATSAB-CI, syndicat des travailleurs de la salubrité, et d'une coordination des ex-exilés ivoiriens, venus formaliser leur engagement au siège du Parti des peuples africains (PPA-CI).
Ces adhésions se sont déroulées en présence de Danon Djédjé, président exécutif du PPA-CI, qui a accueilli les représentants de ces organisations. Cette mobilisation intervient alors que le parti intensifie ses actions en vue de la prochaine élection présidentielle, notamment concernant la situation électorale de son potentiel candidat, Laurent Gbagbo.
Ces adhésions se sont déroulées en présence de Danon Djédjé, président exécutif du PPA-CI, qui a accueilli les représentants de ces organisations. Cette mobilisation intervient alors que le parti intensifie ses actions en vue de la prochaine élection présidentielle, notamment concernant la situation électorale de son potentiel candidat, Laurent Gbagbo.
Les motivations du syndicat de la salubrité
Le SYNATSAB-CI a exposé les raisons de son ralliement au mouvement initié par l'ancien chef d'État. Selon le responsable syndical, cette adhésion répond à un besoin d'amplifier leur voix face aux difficultés rencontrées dans leur secteur d'activité. "Nous sommes en train de mener des actions pour que toutes les autorités politiques et forces vives de la nation puissent nous apporter de l'aide", a-t-il déclaré lors de la cérémonie d'adhésion.
Le représentant syndical a également souligné la pertinence du mouvement pour leur cause : "Nous pensons que le secteur de la salubrité est également concerné, nous avons également notre mot à dire dans ce mouvement." Cette alliance avec une structure syndicale représente un élargissement significatif de la base du mouvement au-delà de la sphère strictement politique, touchant désormais le monde du travail et particulièrement un secteur essentiel aux services publics.
Le représentant syndical a également souligné la pertinence du mouvement pour leur cause : "Nous pensons que le secteur de la salubrité est également concerné, nous avons également notre mot à dire dans ce mouvement." Cette alliance avec une structure syndicale représente un élargissement significatif de la base du mouvement au-delà de la sphère strictement politique, touchant désormais le monde du travail et particulièrement un secteur essentiel aux services publics.
Une stratégie d'expansion avant la présidentielle
L'intégration de ces organisations au mouvement "Trop c'est trop" s'inscrit dans une stratégie plus large du PPA-CI à l'approche des échéances électorales. Le parti de Laurent Gbagbo cherche visiblement à constituer une coalition élargie autour de revendications communes, tout en maintenant la pression concernant la situation électorale de son leader.
Le responsable syndical a d'ailleurs évoqué l'appel de Laurent Gbagbo qui invite "toutes les personnes qui ont quelque chose à dire" à rejoindre ce mouvement contestataire. L'objectif affiché est de créer une dynamique collective : "pour que ensemble nous puissions porter notre voix pour obtenir des changements dans notre secteur", a précisé le syndicaliste.
Le texte laisse entrevoir que cette phase de ralliement précède une mobilisation plus concrète. "Le PPA CI devrait mener des actions bientôt sur le terrain pour protester contre l'absence de son candidat sur la liste électorale", indique l'article. Cette information suggère que le mouvement "Trop c'est trop" pourrait servir de plateforme à des manifestations ou autres actions publiques dans un avenir proche.
La question de l'inscription de Laurent Gbagbo sur la liste électorale demeure un point de crispation majeur pour son parti. L'ancien président, qui a fait son retour en Côte d'Ivoire après son acquittement par la Cour pénale internationale, n'aurait toujours pas retrouvé ses droits civiques complets selon ses partisans, ce qui compromettrait sa candidature potentielle à la prochaine élection présidentielle.
Cette mobilisation croissante autour du mouvement "Trop c'est trop" illustre la capacité de Laurent Gbagbo à fédérer au-delà de son cercle politique traditionnel, malgré les années passées hors du pays. L'évolution de ce mouvement et son impact sur le paysage politique ivoirien seront à suivre dans les semaines à venir, alors que le calendrier électoral se précise.
Le responsable syndical a d'ailleurs évoqué l'appel de Laurent Gbagbo qui invite "toutes les personnes qui ont quelque chose à dire" à rejoindre ce mouvement contestataire. L'objectif affiché est de créer une dynamique collective : "pour que ensemble nous puissions porter notre voix pour obtenir des changements dans notre secteur", a précisé le syndicaliste.
Le texte laisse entrevoir que cette phase de ralliement précède une mobilisation plus concrète. "Le PPA CI devrait mener des actions bientôt sur le terrain pour protester contre l'absence de son candidat sur la liste électorale", indique l'article. Cette information suggère que le mouvement "Trop c'est trop" pourrait servir de plateforme à des manifestations ou autres actions publiques dans un avenir proche.
La question de l'inscription de Laurent Gbagbo sur la liste électorale demeure un point de crispation majeur pour son parti. L'ancien président, qui a fait son retour en Côte d'Ivoire après son acquittement par la Cour pénale internationale, n'aurait toujours pas retrouvé ses droits civiques complets selon ses partisans, ce qui compromettrait sa candidature potentielle à la prochaine élection présidentielle.
Cette mobilisation croissante autour du mouvement "Trop c'est trop" illustre la capacité de Laurent Gbagbo à fédérer au-delà de son cercle politique traditionnel, malgré les années passées hors du pays. L'évolution de ce mouvement et son impact sur le paysage politique ivoirien seront à suivre dans les semaines à venir, alors que le calendrier électoral se précise.