Pascal Affi N'Guessan dépôt sa candidature pour la présidentielle 2025 en Côte d'Ivoire se concrétise ce vendredi 22 août à 16 heures précises devant la Commission Électorale Indépendante (CEI). L'ancien Premier ministre défendra les couleurs du Front populaire ivoirien lors de la présidentielle de 2025 après avoir obtenu le soutien unanime de son parti en novembre dernier. Cette démarche officielle marque une étape décisive dans sa troisième tentative de conquête du pouvoir suprême.
Désormais désigné candidat pour la présidentielle de 2025, Pascal Affi N'Guessan a reçu samedi le feu vert des membres du FPI lors d'un congrès, à Yamoussoukro, qui a permis sa réélection à la tête du FPI. Cette légitimité interne renforce sa position face aux autres prétendants à la magistrature suprême.
Désormais désigné candidat pour la présidentielle de 2025, Pascal Affi N'Guessan a reçu samedi le feu vert des membres du FPI lors d'un congrès, à Yamoussoukro, qui a permis sa réélection à la tête du FPI. Cette légitimité interne renforce sa position face aux autres prétendants à la magistrature suprême.
Un programme de "gouvernance de rupture" annoncé
Dans son discours de candidature, il a mis en avant un programme ambitieux qui se veut une « gouvernance de rupture ». Parmi ses réformes phares figurent la suppression du Sénat, jugé coûteux et peu pertinent, ainsi que l'interdiction du cumul des mandats. Ces propositions visent à moderniser les institutions ivoiriennes et à réduire les dépenses publiques selon le candidat du FPI.
L'ancien chef de gouvernement né le 1er janvier 1953 à Bouadikro, dans la sous-préfecture de Bongouanou, s'appuie sur son parcours d'ingénieur en télécommunications et son expérience politique pour crédibiliser ses propositions. À 72 ans, il entend capitaliser sur sa connaissance approfondie de l'appareil d'État pour convaincre les électeurs ivoiriens de lui accorder leur confiance.
L'ancien chef de gouvernement né le 1er janvier 1953 à Bouadikro, dans la sous-préfecture de Bongouanou, s'appuie sur son parcours d'ingénieur en télécommunications et son expérience politique pour crédibiliser ses propositions. À 72 ans, il entend capitaliser sur sa connaissance approfondie de l'appareil d'État pour convaincre les électeurs ivoiriens de lui accorder leur confiance.