Un violent incendie ravage plusieurs baraques à Abobo Anonkoi Kouté : deux brûlés © Crédit photo DR
Un incendie à Abobo Anonkoi Kouté ce dimanche 17 août 2025 a ravagé plusieurs baraques face à l’hôpital des Sœurs. Alerté à 19h20, le Groupement des sapeurs-pompiers militaires (GSPM) a mobilisé un important dispositif pour maîtriser les flammes et limiter leur propagation.
Selon le bilan officiel, deux personnes ont été gravement brûlées au deuxième degré. Elles ont été transportées d’urgence vers le centre des grands brûlés du CHU de Cocody par les équipes médicales déployées sur place.
Selon le bilan officiel, deux personnes ont été gravement brûlées au deuxième degré. Elles ont été transportées d’urgence vers le centre des grands brûlés du CHU de Cocody par les équipes médicales déployées sur place.
Une intervention massive
Dès leur arrivée, les pompiers ont été confrontés à un feu intense qui menaçait de se propager à l’ensemble du secteur. L’incendie s’étendait sur une superficie estimée à 2500 m². Trois petites lances ont été nécessaires pour circonscrire les flammes après plusieurs heures de lutte.
Pour cette opération, le GSPM a engagé d’importants moyens : deux fourgons pompe-tonne (FPT 11 et FPT 13), un véhicule FMOGP 11, une ambulance AR 11 ainsi qu’un véhicule de secours d’urgence (VSU 14). La police était également présente afin de sécuriser la zone et faciliter l’intervention.
Au-delà des dégâts matériels considérables, cet incendie relance les inquiétudes sur la vulnérabilité des quartiers précaires aux feux rapides et destructeurs. Dans ces zones d’habitat dense, les conditions de sécurité restent fragiles, accentuant les risques pour les populations.
Pour cette opération, le GSPM a engagé d’importants moyens : deux fourgons pompe-tonne (FPT 11 et FPT 13), un véhicule FMOGP 11, une ambulance AR 11 ainsi qu’un véhicule de secours d’urgence (VSU 14). La police était également présente afin de sécuriser la zone et faciliter l’intervention.
Au-delà des dégâts matériels considérables, cet incendie relance les inquiétudes sur la vulnérabilité des quartiers précaires aux feux rapides et destructeurs. Dans ces zones d’habitat dense, les conditions de sécurité restent fragiles, accentuant les risques pour les populations.