
L'ARTCI brandit la menace pénale contre le vandalisme des infrastructures télécoms en Côte d'Ivoire © Crédit photo DR
L'ARTCI tire la sonnette d'alarme face à l'explosion des actes de vandalisme contre les infrastructures de communication en Côte d'Ivoire. Dans un communiqué publié le 25 juillet 2025, l'Autorité de Régulation des Télécommunications/TIC exprime sa "vive préoccupation" devant cette recrudescence alarmante.
Ces dégradations compromettent directement la disponibilité des réseaux et la qualité des services proposés aux Ivoiriens. L'ARTCI pointe du doigt des actes qui touchent l'ensemble du territoire national, des câbles aux équipements radioélectriques, en passant par les chambres techniques stratégiques.
La situation préoccupe d'autant plus que ces infrastructures garantissent les services essentiels : appels téléphoniques, accès internet et envoi de SMS. L'autorité régulatrice appelle désormais à une mobilisation générale pour protéger ces équipements d'intérêt public.
Ces dégradations compromettent directement la disponibilité des réseaux et la qualité des services proposés aux Ivoiriens. L'ARTCI pointe du doigt des actes qui touchent l'ensemble du territoire national, des câbles aux équipements radioélectriques, en passant par les chambres techniques stratégiques.
La situation préoccupe d'autant plus que ces infrastructures garantissent les services essentiels : appels téléphoniques, accès internet et envoi de SMS. L'autorité régulatrice appelle désormais à une mobilisation générale pour protéger ces équipements d'intérêt public.
Des sanctions pénales dissuasives
L'ARTCI rappelle fermement le cadre légal applicable aux auteurs de dégradations. "Quiconque, volontairement, dégrade, détériore ou interrompt, de quelque manière que ce soit, toute installation de communications électroniques commet une infraction passible de sanctions prévues par la loi", précise le communiqué officiel.
Les sanctions s'avèrent particulièrement sévères selon la nouvelle réglementation. La Loi n°2024-352 du 6 juin 2024 relative aux communications électroniques prévoit des peines d'emprisonnement de 1 à 5 ans et des amendes comprises entre 5 et 20 millions de francs CFA.
Ces sanctions pénales s'ajoutent aux recours indemnitaires que peuvent exercer les détenteurs ou exploitants des infrastructures endommagées. Une double peine qui vise à dissuader efficacement les auteurs potentiels de ces actes répréhensibles contre le patrimoine technologique ivoirien.
Les sanctions s'avèrent particulièrement sévères selon la nouvelle réglementation. La Loi n°2024-352 du 6 juin 2024 relative aux communications électroniques prévoit des peines d'emprisonnement de 1 à 5 ans et des amendes comprises entre 5 et 20 millions de francs CFA.
Ces sanctions pénales s'ajoutent aux recours indemnitaires que peuvent exercer les détenteurs ou exploitants des infrastructures endommagées. Une double peine qui vise à dissuader efficacement les auteurs potentiels de ces actes répréhensibles contre le patrimoine technologique ivoirien.
Mobilisation citoyenne réclamée
L'autorité de régulation mise sur la responsabilité collective pour protéger ces équipements sensibles. "L'ARTCI en appelle au sens civique et à la responsabilité de tous, pour la préservation des infrastructures de communications électroniques", souligne le document officiel.
L'organisme demande explicitement à la population de "contribuer activement à la sauvegarde de ces infrastructures d'intérêt pour tous". Cette mobilisation citoyenne constitue un pilier essentiel de la stratégie de protection mise en place par les autorités compétentes.
L'ARTCI met en place un système de signalement accessible pour encourager les dénonciations. Les citoyens peuvent contacter directement l'autorité au 27 20 34 43 68 ou via l'adresse électronique contact@artci.ci pour signaler tout acte suspect.
Les forces de l'ordre restent également mobilisées dans cette lutte. Police et gendarmerie sont invitées à recevoir les signalements de vandalisme pour intervenir rapidement sur le terrain et identifier les responsables.
Cette approche coordonnée vise à créer un réseau de surveillance efficace, impliquant citoyens, opérateurs et forces de sécurité dans la protection du patrimoine technologique national. L'ARTCI espère ainsi inverser la tendance et préserver la qualité des services de télécommunications pour l'ensemble des Ivoiriens.
L'organisme demande explicitement à la population de "contribuer activement à la sauvegarde de ces infrastructures d'intérêt pour tous". Cette mobilisation citoyenne constitue un pilier essentiel de la stratégie de protection mise en place par les autorités compétentes.
L'ARTCI met en place un système de signalement accessible pour encourager les dénonciations. Les citoyens peuvent contacter directement l'autorité au 27 20 34 43 68 ou via l'adresse électronique contact@artci.ci pour signaler tout acte suspect.
Les forces de l'ordre restent également mobilisées dans cette lutte. Police et gendarmerie sont invitées à recevoir les signalements de vandalisme pour intervenir rapidement sur le terrain et identifier les responsables.
Cette approche coordonnée vise à créer un réseau de surveillance efficace, impliquant citoyens, opérateurs et forces de sécurité dans la protection du patrimoine technologique national. L'ARTCI espère ainsi inverser la tendance et préserver la qualité des services de télécommunications pour l'ensemble des Ivoiriens.