Affaire les tickets de Wozo Vacances 2025 passent de 3000 à 5000 francs © Crédit photo DR
Le prix des tickets de Wozo Vacances 2025 provoquent un tollé sur les réseaux sociaux après l'annonce de la hausse tarifaire. Le prix d'entrée bondit de 3000 à 5000 francs CFA, soit une augmentation de 67% par rapport à l'édition 2024. Cette flambée tarifaire suscite l'indignation des familles ivoiriennes qui dénoncent un coût devenu prohibitif pour l'émission phare des enfants.
OZOUA, influenceuse attristée, exprime sa déception : « De 3000 fr en 2024 on passe tranquillement à 5000 fr en 2025 franchement c'est abusé ! Pourquoi une hausse aussi importante? Les amoureux de cette émission n'ont pas tous des parents nantis et pour la plupart ce sont des familles nombreuses… ». Cette réaction illustre le sentiment d'injustice ressenti par de nombreux parents face à cette politique tarifaire.
OZOUA, influenceuse attristée, exprime sa déception : « De 3000 fr en 2024 on passe tranquillement à 5000 fr en 2025 franchement c'est abusé ! Pourquoi une hausse aussi importante? Les amoureux de cette émission n'ont pas tous des parents nantis et pour la plupart ce sont des familles nombreuses… ». Cette réaction illustre le sentiment d'injustice ressenti par de nombreux parents face à cette politique tarifaire.
Familles contraintes de renoncer au spectacle
Les témoignages affluent sur la page Facebook "Crazy mag" où les parents expriment leur déception. Maloulou Marlène détaille ses difficultés : « j'avais pourtant prévu parti avec mes filles mais, le transport dbr, la nourriture, forcément elles voudront le teeshirt, et plus de tout ça les tickets ? fummm ont va regarder à la télé ». Cette situation résume le dilemme de nombreuses familles face aux coûts cumulés.
Ophelie Attegbe dénonce une logique commerciale discutable : « Normalement personne doit payer hein mais tu va voir il vont mettre sold out nous sommes habitués au tickets 3mil pour faire profiter tout nos enfants neveux et nièces ». Cette critique pointe la tension entre rentabilité et accessibilité de l'événement familial.
Emilie Queens synthétise l'exaspération générale : « C'est abuser tout devient cher même amusement des enfants ». Cette déclaration traduit une préoccupation sociale plus large concernant l'inflation touchant les loisirs familiaux.
Ophelie Attegbe dénonce une logique commerciale discutable : « Normalement personne doit payer hein mais tu va voir il vont mettre sold out nous sommes habitués au tickets 3mil pour faire profiter tout nos enfants neveux et nièces ». Cette critique pointe la tension entre rentabilité et accessibilité de l'événement familial.
Emilie Queens synthétise l'exaspération générale : « C'est abuser tout devient cher même amusement des enfants ». Cette déclaration traduit une préoccupation sociale plus large concernant l'inflation touchant les loisirs familiaux.
Critiques sur l'accès aux billets en ligne
Les dysfonctionnements de la billetterie alimentent également les critiques. Freddy Kouame interroge : « Depuis tickets en ligne est ce qu'ont a access a la plateforme pour acheter les tickets ? deux années de suite zéro ticket, j'espère que 5000 là votre plateforme sera accessible ». Cette question révèle les problèmes récurrents de distribution des places.
Abdoulaye Sanogo retrace l'évolution tarifaire : « Avant la manche était 2 mille ensuite 3 mille et maintenant 5 mille c'est quoi tout ça la ». Cette progression constante interpelle sur la stratégie commerciale de l'organisateur qui pourrait exclure progressivement les familles modestes.
Coulibaly Soungary Ali analyse la situation économique : « Business.... Plus la demande est forte et plus les prix augmentent ». Lydie Akassi Tano complète avec une critique sociale : « Les plus riche s'enrichissent et les plus pauvres s'appauvrissent ». Ces observations soulignent les inégalités d'accès aux divertissements pour enfants en Côte d'Ivoire.
Abdoulaye Sanogo retrace l'évolution tarifaire : « Avant la manche était 2 mille ensuite 3 mille et maintenant 5 mille c'est quoi tout ça la ». Cette progression constante interpelle sur la stratégie commerciale de l'organisateur qui pourrait exclure progressivement les familles modestes.
Coulibaly Soungary Ali analyse la situation économique : « Business.... Plus la demande est forte et plus les prix augmentent ». Lydie Akassi Tano complète avec une critique sociale : « Les plus riche s'enrichissent et les plus pauvres s'appauvrissent ». Ces observations soulignent les inégalités d'accès aux divertissements pour enfants en Côte d'Ivoire.
