L'annexe fiscale 2026 de la Côte d'Ivoire est adoptée à l'unanimité. Après quatre jours de discussions avec le gouvernement, le texte passe sans accroc. Adama Coulibaly, ministre du Budget, a présenté vendredi soir vers 22 heures ce projet qui comporte 41 mesures fiscales réparties en six axes. Un document technique qui accompagne le budget 2026 de 17 350,2 milliards de francs CFA.
« La politique fiscale mise en œuvre est principalement orientée vers l'amélioration de la performance du système fiscal », explique le ministre face aux parlementaires. L'ambiance est cordiale mais studieuse. Les députés posent des questions précises sur chaque disposition. Ils veulent comprendre l'impact concret de cette annexe fiscale 2026 sur les entreprises et les ménages ivoiriens.
« La politique fiscale mise en œuvre est principalement orientée vers l'amélioration de la performance du système fiscal », explique le ministre face aux parlementaires. L'ambiance est cordiale mais studieuse. Les députés posent des questions précises sur chaque disposition. Ils veulent comprendre l'impact concret de cette annexe fiscale 2026 sur les entreprises et les ménages ivoiriens.
Six axes
Premier axe : renforcer la mobilisation des ressources. L'État veut augmenter ses recettes sans étrangler les contribuables. Deuxième priorité : l'habitat rural. Des mesures incitatives sont prévues pour encourager la construction hors des grandes villes. Troisième volet : l'environnement. Le gouvernement intègre des dispositions écologiques dans sa fiscalité.
« Elle vise une hausse des recettes fiscales, mais soutient également la politique sociale du gouvernement », précise Adama Coulibaly. Les trois derniers axes concernent le soutien à l'économie, la rationalisation de l'outil fiscal et des ajustements techniques. « Le but est d'améliorer la compétitivité des entreprises », insiste le ministre. L'annexe fiscale 2026 prévoit aussi des simplifications administratives pour faciliter la vie des entrepreneurs.
« Elle vise une hausse des recettes fiscales, mais soutient également la politique sociale du gouvernement », précise Adama Coulibaly. Les trois derniers axes concernent le soutien à l'économie, la rationalisation de l'outil fiscal et des ajustements techniques. « Le but est d'améliorer la compétitivité des entreprises », insiste le ministre. L'annexe fiscale 2026 prévoit aussi des simplifications administratives pour faciliter la vie des entrepreneurs.
Des recettes en hausse
Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Le budget 2026 affiche 17 350,2 milliards contre 15 339,1 milliards en 2025. Une augmentation de plus de 2 000 milliards de francs CFA. Pour y arriver, le gouvernement compte sur sa réforme fiscale. « Le président de la République nous a instruit de venir présenter le budget. Aujourd'hui, nous repartons satisfaits du fait que nous avons un budget qui a été adopté à l'unanimité », déclare Adama Coulibaly après le vote.
L'annexe fiscale 2026 doit permettre de financer les priorités gouvernementales : santé, éducation, agriculture, énergie. « Cette loi de finances met l'emphase sur les questions liées au développement du capital humain et à l'amélioration des conditions de vie des populations », rappelle le ministre. Les indicateurs économiques suivent : croissance projetée à 6,7% en 2026, inflation contenue à 1,5%.
Le texte ne fait que commencer son parcours parlementaire. Après la Commission des Affaires économiques, place à la séance plénière de l'Assemblée nationale. Puis direction Yamoussoukro où le Sénat devra examiner à son tour l'annexe fiscale 2026. Les sénateurs auront le dernier mot sur ce dispositif qui doit donner au président Alassane Ouattara les moyens de son programme.
Les députés ont salué « l'endurance et la détermination » du ministre Coulibaly. Quatre jours et quatre nuits de débats pour boucler l'examen budgétaire. « Les représentants de la nation sont totalement en phase avec notre projet », conclut l'émissaire du gouvernement. L'annexe fiscale 2026 devrait être définitivement adoptée dans les prochaines semaines, avant l'entrée en vigueur des nouvelles mesures fiscales le 1er janvier.
L'annexe fiscale 2026 doit permettre de financer les priorités gouvernementales : santé, éducation, agriculture, énergie. « Cette loi de finances met l'emphase sur les questions liées au développement du capital humain et à l'amélioration des conditions de vie des populations », rappelle le ministre. Les indicateurs économiques suivent : croissance projetée à 6,7% en 2026, inflation contenue à 1,5%.
Le texte ne fait que commencer son parcours parlementaire. Après la Commission des Affaires économiques, place à la séance plénière de l'Assemblée nationale. Puis direction Yamoussoukro où le Sénat devra examiner à son tour l'annexe fiscale 2026. Les sénateurs auront le dernier mot sur ce dispositif qui doit donner au président Alassane Ouattara les moyens de son programme.
Les députés ont salué « l'endurance et la détermination » du ministre Coulibaly. Quatre jours et quatre nuits de débats pour boucler l'examen budgétaire. « Les représentants de la nation sont totalement en phase avec notre projet », conclut l'émissaire du gouvernement. L'annexe fiscale 2026 devrait être définitivement adoptée dans les prochaines semaines, avant l'entrée en vigueur des nouvelles mesures fiscales le 1er janvier.






