Les grossesses en milieu scolaire constituent un défi majeur pour le collège moderne de Gbéléban. Lors d'une séance de travail tenue le 8 décembre 2024, le directeur Hebié Issa a fait état de cinq nouveaux cas de grossesse enregistrés depuis la rentrée.
Cette situation interpelle d'autant plus que quatre des cinq cas concernent des élèves du premier cycle, révélant une vulnérabilité particulière chez les plus jeunes apprenantes.
Cette situation interpelle d'autant plus que quatre des cinq cas concernent des élèves du premier cycle, révélant une vulnérabilité particulière chez les plus jeunes apprenantes.
Premier cycle particulièrement touché
L'analyse détaillée de la situation montre une concentration des cas dans les petites classes. Deux élèves de sixième et deux de cinquième sont concernées, auxquelles s'ajoute une élève de seconde. Ces chiffres s'inscrivent dans une tendance similaire à l'année scolaire précédente.
L'établissement, qui compte 381 élèves dont 195 filles, avait déjà enregistré cinq cas de grossesse au cours de l'année scolaire 2023-2024, témoignant d'une problématique persistante.
Face à cette situation, la direction intensifie ses actions de sensibilisation. Malgré les sessions d'information régulières sur les comportements à risque, le phénomène persiste, comme le déplore le directeur Hebié Issa.
Ces grossesses précoces compromettent sérieusement la scolarité des jeunes filles concernées, particulièrement dans un établissement où elles représentent plus de 51% de l'effectif total. La direction poursuit ses efforts pour protéger le parcours scolaire de ses élèves.
L'établissement, qui compte 381 élèves dont 195 filles, avait déjà enregistré cinq cas de grossesse au cours de l'année scolaire 2023-2024, témoignant d'une problématique persistante.
Face à cette situation, la direction intensifie ses actions de sensibilisation. Malgré les sessions d'information régulières sur les comportements à risque, le phénomène persiste, comme le déplore le directeur Hebié Issa.
Ces grossesses précoces compromettent sérieusement la scolarité des jeunes filles concernées, particulièrement dans un établissement où elles représentent plus de 51% de l'effectif total. La direction poursuit ses efforts pour protéger le parcours scolaire de ses élèves.