Comment devenir Agent de Bureau en Côte d'Ivoire ? © Crédit photo DR
Le métier d’agent de bureau en Côte d’Ivoire est ouvert par deux voies distinctes : le concours administratif ou la nomination par décret. Le ministère de la Fonction publique précise que cette catégorie correspond au grade D1 de la famille d’emploi administratif et juridique. Pour s’y présenter, il faut être ivoirien et titulaire du Certificat d’études primaires élémentaires (CEPE) ou d’un diplôme admis en équivalence.
Cette passerelle permet à de nombreux jeunes diplômés du primaire de s’insérer dans la fonction publique. Ce concours reste l’un des plus accessibles dans le secteur administratif.
Cette passerelle permet à de nombreux jeunes diplômés du primaire de s’insérer dans la fonction publique. Ce concours reste l’un des plus accessibles dans le secteur administratif.
Un profil de carrière évolutif
Une fois recruté, l’agent de bureau n’est pas cantonné à des tâches subalternes. Le profil de carrière prévoit en effet une progression régulière, rythmée par des concours professionnels. Après trois ans d’ancienneté, il peut accéder au poste d’adjoint administratif (C1), puis de secrétaire assistant (B1), et ainsi de suite.
À titre d’exemple, après plusieurs années, un agent de bureau peut prétendre au grade d’administrateur civil (A4), puis à celui d’administrateur civil général (A7).
Ce recrutement élargi au niveau CEPE contribue aussi à l’insertion professionnelle dans un contexte où le chômage des jeunes demeure élevé. Plusieurs centaines de candidats s’inscrivent chaque année, attirés par la perspective d’une carrière stable.
Le ministère insiste toutefois sur la rigueur du processus. Les candidats devront s’armer de patience et de détermination, car les étapes de concours internes jalonnent toute l’évolution.
À titre d’exemple, après plusieurs années, un agent de bureau peut prétendre au grade d’administrateur civil (A4), puis à celui d’administrateur civil général (A7).
Ce recrutement élargi au niveau CEPE contribue aussi à l’insertion professionnelle dans un contexte où le chômage des jeunes demeure élevé. Plusieurs centaines de candidats s’inscrivent chaque année, attirés par la perspective d’une carrière stable.
Le ministère insiste toutefois sur la rigueur du processus. Les candidats devront s’armer de patience et de détermination, car les étapes de concours internes jalonnent toute l’évolution.
