
L'indice de sécurité de la Côte d'Ivoire passe de 6,8 en 2011 à 1,2 en 2025 relève le général Apalo Touré © Crédit photo DR
Le jeudi 25 septembre 2025, l’université polytechnique de San Pedro a accueilli la première édition d’un symposium international consacré à la criminalité et aux défis du développement dans les villes balnéaires. À la tribune, le général de Corps d’Armée Alexandre Apalo Touré, commandant supérieur de la Gendarmerie nationale, a ouvert les travaux en appelant à la culture de la paix. « La Côte d’Ivoire doit demeurer en paix pour garantir un meilleur avenir à la jeunesse », a-t-il lancé devant un auditoire composé d’universitaires et d’étudiants.
Dans son intervention, le haut gradé a rappelé les progrès enregistrés ces dernières années en matière de sécurité intérieure. Selon lui, les réformes entreprises ont permis au pays de passer d’un indice de sécurité de 6,8 en 2011 à 1,2 en 2025. Une évolution qui, selon ses mots, « traduit les efforts conjoints du gouvernement, des forces de sécurité et de la population ».
Le conférencier a cependant averti : « Le monde criminel est dynamique, il nous oblige à rester vigilants. » Pour illustrer son propos, il a détaillé les facteurs aggravants de l’insécurité, allant de la déviance urbaine aux trafics transfrontaliers.
Dans son intervention, le haut gradé a rappelé les progrès enregistrés ces dernières années en matière de sécurité intérieure. Selon lui, les réformes entreprises ont permis au pays de passer d’un indice de sécurité de 6,8 en 2011 à 1,2 en 2025. Une évolution qui, selon ses mots, « traduit les efforts conjoints du gouvernement, des forces de sécurité et de la population ».
Le conférencier a cependant averti : « Le monde criminel est dynamique, il nous oblige à rester vigilants. » Pour illustrer son propos, il a détaillé les facteurs aggravants de l’insécurité, allant de la déviance urbaine aux trafics transfrontaliers.
Des enjeux pour la jeunesse
Au-delà des données chiffrées, le général Apalo Touré a insisté sur l’importance de la participation citoyenne, notamment celle des jeunes. « L’engagement de la jeunesse est indispensable pour préserver la stabilité nationale », a-t-il martelé.
Il a également élargi la réflexion en proposant une comparaison avec d’autres villes portuaires confrontées aux mêmes problématiques de criminalité. Cette approche, a-t-il indiqué, doit encourager la recherche et le dialogue entre institutions académiques et acteurs de la sécurité.
Pour les participants, ce symposium marque un jalon dans la collaboration entre forces de l’ordre et monde universitaire, avec un objectif partagé : consolider les acquis sécuritaires pour soutenir le développement économique et social du pays.
Il a également élargi la réflexion en proposant une comparaison avec d’autres villes portuaires confrontées aux mêmes problématiques de criminalité. Cette approche, a-t-il indiqué, doit encourager la recherche et le dialogue entre institutions académiques et acteurs de la sécurité.
Pour les participants, ce symposium marque un jalon dans la collaboration entre forces de l’ordre et monde universitaire, avec un objectif partagé : consolider les acquis sécuritaires pour soutenir le développement économique et social du pays.