Le nom du nouveau président de la BAD connu ce jeudi 29 mai © Crédit photo DR
L'élection du nouveau président de la Banque africaine de développement (BAD) se tiendra ce jeudi 29 mai 2025 à Abidjan. Cette élection vise à désigner le successeur d'Akinwumi Adesina, dont le deuxième mandat se termine le 31 août 2025. L’événement se déroule dans le cadre des Assemblées annuelles de la BAD au Sofitel Hôtel Ivoire, un moment attendu tant par les gouverneurs que par les acteurs économiques africains.
Les candidats en concurrence
Cinq candidats sont en lice pour la présidence de la BAD. Voici leurs noms et profils :
- Amadou Hott (Sénégal) : ancien ministre de l’Économie, il a une expérience significative dans le secteur public.
- Samuel Munzele Maimbo (Zambie) : actuels responsable à la Banque mondiale, il se concentre sur le financement des infrastructures.
- Swazi Tshabalala (Afrique du Sud) : ancienne vice-présidente de la BAD chargée des finances, elle a un bon aperçu des enjeux de la gouvernance.
- Sidi Ould Tah (Mauritanie) : ancien directeur de la Banque arabe pour le développement économique, il possède une solide expérience régionale.
- Abbas Mahamat Tolli (Tchad) : gouverneur sortant de la Banque des États de l’Afrique centrale, il se positionne comme un expert en finance régionale.
- Amadou Hott (Sénégal) : ancien ministre de l’Économie, il a une expérience significative dans le secteur public.
- Samuel Munzele Maimbo (Zambie) : actuels responsable à la Banque mondiale, il se concentre sur le financement des infrastructures.
- Swazi Tshabalala (Afrique du Sud) : ancienne vice-présidente de la BAD chargée des finances, elle a un bon aperçu des enjeux de la gouvernance.
- Sidi Ould Tah (Mauritanie) : ancien directeur de la Banque arabe pour le développement économique, il possède une solide expérience régionale.
- Abbas Mahamat Tolli (Tchad) : gouverneur sortant de la Banque des États de l’Afrique centrale, il se positionne comme un expert en finance régionale.
Enjeux électoraux et processus
Le scrutin se déroulera à huis clos, chaque pays membre disposant de voix proportionnelles à sa part dans le capital de la banque. Les grands actionnaires comme le Nigeria, l’Égypte et l'Algérie détiennent ensemble près d'un tiers des droits de vote.
Le futur président sera confronté à de nombreux défis, notamment le renforcement du rôle de la BAD dans un contexte géopolitique instable, exacerbée par la réduction de l’aide au développement par certains pays occidentaux. Ce renouvellement est important pour poursuivre les priorités stratégiques de la banque, telles que les « High 5 » : éclairer, nourrir, industrialiser, intégrer et améliorer la qualité de vie des populations africaines.
L'élection de ce jeudi 29 mai est un moment déterminant pour l'avenir du financement du développement en Afrique. Le résultat pourrait influencer les politiques de financement de projets économiques et sociaux au sein du continent. Le nom du futur président de la BAD sera donc particulièrement attendu, car il signera le début d'une nouvelle ère pour l'institution, avec l'objectif légitime de soutenir le développement durable en Afrique.
Le futur président sera confronté à de nombreux défis, notamment le renforcement du rôle de la BAD dans un contexte géopolitique instable, exacerbée par la réduction de l’aide au développement par certains pays occidentaux. Ce renouvellement est important pour poursuivre les priorités stratégiques de la banque, telles que les « High 5 » : éclairer, nourrir, industrialiser, intégrer et améliorer la qualité de vie des populations africaines.
L'élection de ce jeudi 29 mai est un moment déterminant pour l'avenir du financement du développement en Afrique. Le résultat pourrait influencer les politiques de financement de projets économiques et sociaux au sein du continent. Le nom du futur président de la BAD sera donc particulièrement attendu, car il signera le début d'une nouvelle ère pour l'institution, avec l'objectif légitime de soutenir le développement durable en Afrique.
