
Meeting CAP-CI à Yopougon : Thiam depuis Paris pour la révision de la liste électorale © Crédit photo DR
Tidjane Thiam depuis Paris a lancé ce 31 mai 2025 lors du meeting du CAP-CI à Yopougon un appel fort. « Il ne faut pas prendre les Ivoiriens pour des idiots. » À l’occasion du meeting de la Coalition pour l’Alternance Pacifique en Côte d'Ivoire (CAP-CI), organisé le 31 mai 2025, son intervention a soulevé des inquiétudes quant à l'intégrité électorale à quelques mois des élections. L’ancien ministre a souligné que les radiations et exclusions de certains figures politiques compromettent l'équité du processus électoral et appellent à une révision urgente.
Cette initiative rassemble plusieurs partis d'opposition, dont le PDCI et le MGC de Simone Gbagbo. L’objectif principal de cette coalition est de dénoncer les irrégularités et de revendiquer des élections transparentes. Thiam a insisté sur le fait que « la justice ne doit pas être instrumentalisée » pour avantager un camp au détriment des autres.
Cette initiative rassemble plusieurs partis d'opposition, dont le PDCI et le MGC de Simone Gbagbo. L’objectif principal de cette coalition est de dénoncer les irrégularités et de revendiquer des élections transparentes. Thiam a insisté sur le fait que « la justice ne doit pas être instrumentalisée » pour avantager un camp au détriment des autres.
La nécessité d'une CEI indépendante
Du côté de Yopougon, la CAP-CI a également souligné la nécessité d’une Commission Électorale Indépendante (CEI) sans représentant des partis politiques. Simone Gbagbo a martelé : « Nous voulons une CEI dans laquelle il n'y a aucun représentant des partis politiques. » Cette demande souligne un désir de transparence, alors que l'opposition réclame un audit de la liste électorale pour garantir l'équité du scrutin.
Les revendications de Thiam, de Simone Gbagbo et des autres leaders de la CAP-CI trouvent leur origine dans des tensions croissantes autour du climat politique en Côte d'Ivoire. La peur d'une répétition des violences électorales des élections passées plane, rendant d'autant plus importants les appels à la transparence et à l'inclusion.
Les revendications de Thiam, de Simone Gbagbo et des autres leaders de la CAP-CI trouvent leur origine dans des tensions croissantes autour du climat politique en Côte d'Ivoire. La peur d'une répétition des violences électorales des élections passées plane, rendant d'autant plus importants les appels à la transparence et à l'inclusion.
Solidarité au sein de l'opposition
Malgré des divisions dans l’opposition, avec des partis comme le PPA-CI de Laurent Gbagbo en dehors de la coalition, le meeting à Yopougon reflète une solidarité importante. La mobilisation autour de la CAP-CI montre un désir de rassembler les forces de l'opposition pour faire entendre leur voix.
Simone Gbagbo a aussi partagé des réflexions similaires sur l’inclusivité, affirmant qu'il est impératif que chaque candidat ait la possibilité de participer à l’élection sans entrave. Leurs messages convergent pour établir une volonté partagée de lutter contre un système qu’ils jugent verrouillé.
À l’approche de la présidentielle prévue pour le 25 octobre 2025, Thiam et les autres leaders de l’opposition appellent les Ivoiriens à la mobilisation. Ils insistent sur la nécessité d’un engagement citoyen fort pour assurer une élection équitable. Thiam a souligné l’importance d’éviter des scénarios de violence et a encouragé les électeurs à se préparer pour défendre leurs droits.
Le meeting de Yopougon constitue donc une étape clé dans le parcours vers une élection considérée comme délicate. Les messages affichés montrent une détermination à s’engager pour des élections transparentes et apaisées.
Simone Gbagbo a aussi partagé des réflexions similaires sur l’inclusivité, affirmant qu'il est impératif que chaque candidat ait la possibilité de participer à l’élection sans entrave. Leurs messages convergent pour établir une volonté partagée de lutter contre un système qu’ils jugent verrouillé.
À l’approche de la présidentielle prévue pour le 25 octobre 2025, Thiam et les autres leaders de l’opposition appellent les Ivoiriens à la mobilisation. Ils insistent sur la nécessité d’un engagement citoyen fort pour assurer une élection équitable. Thiam a souligné l’importance d’éviter des scénarios de violence et a encouragé les électeurs à se préparer pour défendre leurs droits.
Le meeting de Yopougon constitue donc une étape clé dans le parcours vers une élection considérée comme délicate. Les messages affichés montrent une détermination à s’engager pour des élections transparentes et apaisées.