Dans une interview accordée le 13 décembre 2024, Tidjane Thiam dévoile sa vision pour la présidentielle de 2025. Le président du PDCI s'inspire des récentes transitions démocratiques en Afrique de l'Ouest : "On a montré qu'en Afrique de l'Ouest, on peut faire une alternance apaisée."
Face aux critiques internes, il développe une approche stratégique basée sur son expérience internationale et sa connaissance du terrain ivoirien.
"C'est un événement politique d'importance majeure", déclare Thiam concernant la future convention du PDCI. Il expose sa vision du timing : "Il faut que ceux qui font ce choix fassent un choix informé."
Le président du PDCI souligne l'importance du contexte politique global : "Il y a un sujet fondamental, à savoir qui sera le candidat du RHDP. C'est une donnée fondamentale. Essayer de tenir une convention quand on n'a pas la réponse à cette question, est-ce la meilleure approche ?"
"Les postes que j'ai occupés dans ma carrière, je les ai eus au mérite", rappelle Thiam, évoquant son parcours international. Il met en perspective son expérience : "Si le Credit Suisse est venu me chercher à Londres, c'est parce que la banque était dans une situation désespérée."
Il souligne également son impact passé en Côte d'Ivoire : "J'ai présenté ce programme des douze travaux de l'éléphant d'Afrique, que trente ans après, on est encore en train de réaliser."
Face aux critiques internes, il développe une approche stratégique basée sur son expérience internationale et sa connaissance du terrain ivoirien.
"C'est un événement politique d'importance majeure", déclare Thiam concernant la future convention du PDCI. Il expose sa vision du timing : "Il faut que ceux qui font ce choix fassent un choix informé."
Le président du PDCI souligne l'importance du contexte politique global : "Il y a un sujet fondamental, à savoir qui sera le candidat du RHDP. C'est une donnée fondamentale. Essayer de tenir une convention quand on n'a pas la réponse à cette question, est-ce la meilleure approche ?"
"Les postes que j'ai occupés dans ma carrière, je les ai eus au mérite", rappelle Thiam, évoquant son parcours international. Il met en perspective son expérience : "Si le Credit Suisse est venu me chercher à Londres, c'est parce que la banque était dans une situation désespérée."
Il souligne également son impact passé en Côte d'Ivoire : "J'ai présenté ce programme des douze travaux de l'éléphant d'Afrique, que trente ans après, on est encore en train de réaliser."
Une vision pour la Côte d'Ivoire
"Je fais confiance à l'intelligence du peuple ivoirien", affirme Thiam, développant sa vision du leadership. Il insiste sur l'importance des résultats : "Ce n'est pas un concours de présence. C'est un concours de résultats."
Le président du PDCI s'appuie sur des exemples concrets : "Au Sénégal, la majorité a été battue. Au Ghana, le vice-président a concédé la défaite avant même que les résultats officiels soient connus."
Le président du PDCI s'appuie sur des exemples concrets : "Au Sénégal, la majorité a été battue. Au Ghana, le vice-président a concédé la défaite avant même que les résultats officiels soient connus."
Une légitimité renforcée
Thiam rappelle sa forte légitimité au sein du parti : "Quand j'ai été élu fin décembre 2023, ça a été avec une majorité écrasante, 96,5%." Il ajoute que "les plus de 4000 personnes qui ont voté pour moi ont exprimé le souhait que je sois le candidat du parti à la présidence de la République."
Face aux critiques sur la convention, il reste confiant : "Cette convention va être une formalité, parce que le résultat en est déjà connu. Nous respecterons nos textes. Ceux qui veulent être candidats pourront l'être vraiment sans aucun problème."
Face aux critiques sur la convention, il reste confiant : "Cette convention va être une formalité, parce que le résultat en est déjà connu. Nous respecterons nos textes. Ceux qui veulent être candidats pourront l'être vraiment sans aucun problème."