Les gendarmes en poste au corridor nord de Ferkessédougou ont intercepté un chargement de maïs le 17 janvier 2025. Le contrôle de routine a révélé l'absence totale de documents réglementaires pour l'exportation de cette denrée vers le Burkina Faso.
Le transporteur ne présentait ni les documents douaniers obligatoires, ni l'autorisation de l'Office d'Aide à la Commercialisation des Produits Vivriers. Ces documents sont pourtant indispensables pour toute exportation de produits vivriers hors du territoire ivoirien.
Le transporteur ne présentait ni les documents douaniers obligatoires, ni l'autorisation de l'Office d'Aide à la Commercialisation des Produits Vivriers. Ces documents sont pourtant indispensables pour toute exportation de produits vivriers hors du territoire ivoirien.
Documents manquants et infractions
L'inspection du véhicule a permis d'établir la quantité transportée à 50 tonnes de maïs. Les forces de l'ordre ont constaté deux infractions majeures : l'absence de déclaration en douane et le non-respect des procédures de l'OCPV pour l'exportation de produits vivriers.
Les trois occupants du véhicule n'ont pas pu justifier la provenance de la marchandise ni présenter les autorisations nécessaires pour son transport transfrontalier. Cette situation a conduit à leur interpellation immédiate.
Les trois occupants du véhicule n'ont pas pu justifier la provenance de la marchandise ni présenter les autorisations nécessaires pour son transport transfrontalier. Cette situation a conduit à leur interpellation immédiate.
Mesures conservatoires
Les gendarmes ont procédé à la mise sous scellés du camion et de son chargement. Cette mesure vise à préserver les preuves et à empêcher toute tentative de soustraction de la marchandise au contrôle des autorités.
La procédure suit son cours avec l'implication des services douaniers et de l'OCPV. Les trois personnes interpellées devront répondre de leurs actes devant les autorités compétentes.
La procédure suit son cours avec l'implication des services douaniers et de l'OCPV. Les trois personnes interpellées devront répondre de leurs actes devant les autorités compétentes.