Ahoua Don Mello accélère sa campagne présidentielle 2025 : voici son programme du jour © Crédit photo DR
Ce samedi 11 octobre, la machine de campagne pour la présidentielle 2025 en Côte d'Ivoire d'Ahoua Don-Mello prend un nouveau tournant. À 14 heures précises, M. Djinko Lamoussa remettra officiellement les clés d'un second siège de campagne à l'équipe du candidat. Le local se situe à Riviera Attoban, dans la Cité Abri 2000, non loin du commissariat du 30ème arrondissement.
Cette acquisition témoigne de la montée en puissance de l'organisation du candidat ingénieur. Avec désormais deux quartiers généraux opérationnels, l'ancien ministre de l'Équipement dispose d'une infrastructure qui lui permet d'intensifier ses activités sur le terrain. Le premier QG reste basé à Cocody Las Palmas, près de la CAIDP.
Cette acquisition témoigne de la montée en puissance de l'organisation du candidat ingénieur. Avec désormais deux quartiers généraux opérationnels, l'ancien ministre de l'Équipement dispose d'une infrastructure qui lui permet d'intensifier ses activités sur le terrain. Le premier QG reste basé à Cocody Las Palmas, près de la CAIDP.
Une réunion stratégique
Trente minutes après la remise des clés, à 14h30, le tout nouveau Directoire National de campagne se réunira pour la première fois. Cette instance, qui rassemble les cadres et responsables de l'équipe de campagne, devra définir la stratégie des prochaines semaines. L'enjeu est de taille pour l'homme qui se présente comme le candidat de la souveraineté et du panafricanisme.
L'ingénieur des ponts et chaussées, diplômé de l'École Nationale des Ponts et Chaussées de Paris, compte bien faire valoir son expérience de technocrate. À 67 ans, il mise sur son parcours d'ancien directeur général du BNETD pendant onze ans et sur sa vision d'une Côte d'Ivoire débarrassée de ce qu'il appelle "la dépendance économique".
L'ingénieur des ponts et chaussées, diplômé de l'École Nationale des Ponts et Chaussées de Paris, compte bien faire valoir son expérience de technocrate. À 67 ans, il mise sur son parcours d'ancien directeur général du BNETD pendant onze ans et sur sa vision d'une Côte d'Ivoire débarrassée de ce qu'il appelle "la dépendance économique".
Un programme de proximité
À 15 heures, Ahoua Don-Mello quittera Riviera Attoban pour rejoindre son premier QG de Cocody Las Palmas. Il y réalisera ce que son équipe appelle des "PAD", des opérations de terrain destinées à rencontrer directement les électeurs et les sympathisants.
Cette journée marathon illustre la cadence que le candidat entend tenir jusqu'au scrutin. Démocrate, socialiste et souverainiste selon ses propres mots, il défend un programme articulé autour de 42 propositions qui visent à transformer radicalement le modèle économique ivoirien.
Parmi ses engagements phares figurent l'annulation des accords de défense avec la France, la réforme du secteur financier, le transfert des secteurs stratégiques aux mains des nationaux et la création d'un fonds souverain pour financer le développement. Des propositions qui tranchent avec le discours du pouvoir en place.
L'ancien vice-président du PPA-CI, dont il a été révoqué après l'annonce de sa candidature, maintient qu'il s'agit d'une "candidature de précaution". Son message reste clair : si Laurent Gbagbo obtient l'autorisation de se présenter, il retirera sa candidature pour le soutenir.
Cette journée marathon illustre la cadence que le candidat entend tenir jusqu'au scrutin. Démocrate, socialiste et souverainiste selon ses propres mots, il défend un programme articulé autour de 42 propositions qui visent à transformer radicalement le modèle économique ivoirien.
Parmi ses engagements phares figurent l'annulation des accords de défense avec la France, la réforme du secteur financier, le transfert des secteurs stratégiques aux mains des nationaux et la création d'un fonds souverain pour financer le développement. Des propositions qui tranchent avec le discours du pouvoir en place.
L'ancien vice-président du PPA-CI, dont il a été révoqué après l'annonce de sa candidature, maintient qu'il s'agit d'une "candidature de précaution". Son message reste clair : si Laurent Gbagbo obtient l'autorisation de se présenter, il retirera sa candidature pour le soutenir.
