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					 C'est un Tidjane Thiam combatif qui s'adresse ce vendredi 31 octobre 2025 à ses militants. Dans une lettre datée du 31 octobre 2025, le président du PDCI-RDA  tire un trait sur les mois difficiles que son parti a traversés depuis la présidentielle. Éliminé de la course à la magistrature suprême par décision de justice, l'ancien banquier international  entend bien prendre sa revanche lors des législatives prévues le 27 décembre. 
   
"2025 a été une année difficile pour le Parti", reconnaît Tidjane Thiam. Il rappelle avoir affronté "procédures après procédures" visant à le destituer de la présidence du parti, poste auquel les militants l'ont élu en décembre 2023 avec plus de 99% des voix. "Cette campagne toxique a abouti le 4 juin dernier où le candidat du PDCI RDA fut éliminé de la liste électorale par une décision de justice", écrit-il dans sa lettre.
			 "2025 a été une année difficile pour le Parti", reconnaît Tidjane Thiam. Il rappelle avoir affronté "procédures après procédures" visant à le destituer de la présidence du parti, poste auquel les militants l'ont élu en décembre 2023 avec plus de 99% des voix. "Cette campagne toxique a abouti le 4 juin dernier où le candidat du PDCI RDA fut éliminé de la liste électorale par une décision de justice", écrit-il dans sa lettre.
La discipline avant tout
					 Aujourd'hui, place à la reconquête. Et pour y parvenir, le patron du PDCI tape du poing sur la table. "Je suis heureux de vous annoncer que cette période est terminée et bien terminée", lance-t-il à ses troupes. Le message est limpide : "Désormais, l'indiscipline et la trahison n'auront plus leur place dans notre Parti." 
   
L'ancien ministre pointe du doigt ceux qui travaillent dans l'ombre pour le camp adverse. "Nous avons quelques égarés parmi nous, ceux qui sont parmi nous mais qui, objectivement, travaillent pour nos adversaires", dénonce-t-il. Ces militants "déloyaux", selon lui, sont "poussés par leurs appétits égoïstes" et "prêts à toutes les compromissions en échange de promesses de ministères".
			 L'ancien ministre pointe du doigt ceux qui travaillent dans l'ombre pour le camp adverse. "Nous avons quelques égarés parmi nous, ceux qui sont parmi nous mais qui, objectivement, travaillent pour nos adversaires", dénonce-t-il. Ces militants "déloyaux", selon lui, sont "poussés par leurs appétits égoïstes" et "prêts à toutes les compromissions en échange de promesses de ministères".
Une mobilisation record attendue
					 Le rendez-vous est fixé. Les élections législatives auront lieu "le 27 décembre 2025, c'est-à-dire entre Noël et le Nouvel An", confirme Tidjane Thiam. Et cette fois, pas question de laisser passer l'opportunité. Pour le leader du PDCI, un seul rempart face à ce qu'il qualifie de fraude programmée : la participation. "Nous n'échapperons à ce piège que si la participation à ces élections est la plus élevée jamais constatée dans l'histoire de notre pays", affirme-t-il. 
   
Les chiffres qu'il avance témoignent d'une dynamique : 75 000 nouvelles adhésions et 169 000 parrainages récoltés. Son allocution du 27 octobre aurait touché plus de 2 millions d'Ivoiriens, selon ses équipes digitales. De quoi nourrir ses ambitions pour décembre. "Ce jour-là, la Côte d'Ivoire dira à tous, ce qu'elle pense du régime RHDP et de son bilan", promet le président du PDCI-RDA.
   
L'urgence sociale justifie cette précipitation, selon lui. "Tous les jours, des Ivoiriens meurent, faute d'accès à des soins de santé de qualité", martèle-t-il, énumérant les maux du pays : classes surchargées, accidents de la route, chômage, vie chère. "Les Ivoiriens veulent le changement maintenant, pas demain, ni après-demain", conclut Tidjane Thiam, avant de lancer son ultime appel : "Rendez-vous le 27 décembre !"
  
				 
			 Les chiffres qu'il avance témoignent d'une dynamique : 75 000 nouvelles adhésions et 169 000 parrainages récoltés. Son allocution du 27 octobre aurait touché plus de 2 millions d'Ivoiriens, selon ses équipes digitales. De quoi nourrir ses ambitions pour décembre. "Ce jour-là, la Côte d'Ivoire dira à tous, ce qu'elle pense du régime RHDP et de son bilan", promet le président du PDCI-RDA.
L'urgence sociale justifie cette précipitation, selon lui. "Tous les jours, des Ivoiriens meurent, faute d'accès à des soins de santé de qualité", martèle-t-il, énumérant les maux du pays : classes surchargées, accidents de la route, chômage, vie chère. "Les Ivoiriens veulent le changement maintenant, pas demain, ni après-demain", conclut Tidjane Thiam, avant de lancer son ultime appel : "Rendez-vous le 27 décembre !"
 
			  
 
			  






