Les radars mobiles sur l'Abidjan-Adzopé révèlent l'ampleur de l'incivisme routier sur cet axe stratégique de la Côte d'Ivoire. Du 7 au 9 juillet 2025, les équipes de contrôle ont verbalisé 8880 véhicules pour excès de vitesse en agglomération, un chiffre record qui interpelle sur les comportements dangereux des automobilistes. Cette opération menée sur la section de voie nationale A1 mobilise police nationale et gendarmerie dans une approche coordonnée.
Le déploiement de ces dispositifs répressifs et préventifs traduit la nouvelle stratégie gouvernementale face à "la recrudescence des accidents de la route". Les autorités abandonnent progressivement les campagnes de sensibilisation au profit d'une répression systématique sur les axes accidentogènes. Cette escalade répressive vise à "garantir la sécurité routière par la vérification du respect des limitations de vitesse et l'interpellation des contrevenants".
Le déploiement de ces dispositifs répressifs et préventifs traduit la nouvelle stratégie gouvernementale face à "la recrudescence des accidents de la route". Les autorités abandonnent progressivement les campagnes de sensibilisation au profit d'une répression systématique sur les axes accidentogènes. Cette escalade répressive vise à "garantir la sécurité routière par la vérification du respect des limitations de vitesse et l'interpellation des contrevenants".
Un bilan alarmant
ZIGUI Gnoléba Lucien, Directeur régional de la Mé, "s'est inquiété de la forte propension des automobilistes à ignorer les vitesses prescrites sur les voies ouvertes à la circulation". Ce responsable tire la sonnette d'alarme face à des chiffres qui démontrent la banalisation des comportements dangereux sur l'axe Abidjan-Adzopé.
Les 8880 infractions relevées en seulement trois jours illustrent l'ampleur du défi sécuritaire. Cette concentration d'infractions sur 72 heures seulement révèle que près de 3000 automobilistes quotidiennement ne respectent pas les limitations de vitesse. Les contrôles se concentrent "entre les deux corridors d'Adzopé situés sur la section de voie nationale A1", zone particulièrement accidentogène selon les statistiques officielles.
Les 8880 infractions relevées en seulement trois jours illustrent l'ampleur du défi sécuritaire. Cette concentration d'infractions sur 72 heures seulement révèle que près de 3000 automobilistes quotidiennement ne respectent pas les limitations de vitesse. Les contrôles se concentrent "entre les deux corridors d'Adzopé situés sur la section de voie nationale A1", zone particulièrement accidentogène selon les statistiques officielles.
Un appel à la responsabilité
Face à cette situation préoccupante, les autorités appellent à "une prise de conscience" des automobilistes. ZIGUI Gnoléba Lucien "a exhorté les automobilistes et les conducteurs d'engins à 02 et 03 roues à la prudence et à la responsabilité, afin de réduire considérablement le nombre d'accidents". Cet appel s'adresse à tous les usagers de l'axe Abidjan-Adzopé, particulièrement vulnérable.
L'objectif affiché consiste à "assurer ainsi des routes plus sûres aux populations de la région de la Mé". Cette préoccupation sécuritaire justifie l'intensification des contrôles répressifs. Les radars mobiles sur l'axe Abidjan-Adzopé constituent désormais un outil permanent de surveillance, abandonnant le caractère ponctuel des précédentes opérations de contrôle.
"La montée en puissance des radars mobiles sur les axes interurbains" illustre la nouvelle doctrine sécuritaire du gouvernement ivoirien. Cette stratégie cible spécifiquement l'excès de vitesse, "considéré non seulement comme un facteur d'accident, mais aussi comme un facteur aggravant des accidents de la circulation routière".
Cette approche répressive devrait s'étendre à d'autres axes sensibles du réseau routier national. Les radars mobiles sur l'axe Abidjan-Adzopé préfigurent une généralisation de ces dispositifs sur l'ensemble du territoire, particulièrement sur les voies à forte circulation. Le gouvernement mise sur cette dissuasion technologique pour modifier durablement les comportements des usagers de la route.
L'objectif affiché consiste à "assurer ainsi des routes plus sûres aux populations de la région de la Mé". Cette préoccupation sécuritaire justifie l'intensification des contrôles répressifs. Les radars mobiles sur l'axe Abidjan-Adzopé constituent désormais un outil permanent de surveillance, abandonnant le caractère ponctuel des précédentes opérations de contrôle.
"La montée en puissance des radars mobiles sur les axes interurbains" illustre la nouvelle doctrine sécuritaire du gouvernement ivoirien. Cette stratégie cible spécifiquement l'excès de vitesse, "considéré non seulement comme un facteur d'accident, mais aussi comme un facteur aggravant des accidents de la circulation routière".
Cette approche répressive devrait s'étendre à d'autres axes sensibles du réseau routier national. Les radars mobiles sur l'axe Abidjan-Adzopé préfigurent une généralisation de ces dispositifs sur l'ensemble du territoire, particulièrement sur les voies à forte circulation. Le gouvernement mise sur cette dissuasion technologique pour modifier durablement les comportements des usagers de la route.