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Qui sera Miss Côte d'Ivoire 2025 ce 28 juin ? : les favorites

Samedi 28 Juin 2025

Qui sera Miss Côte d'Ivoire 2025 ? 30 finalistes rivalisent ce samedi 28 juin au Parc des Expositions d'Abidjan.


Qui sera Miss Côte d'Ivoire 2025 ce 28 juin ? © Crédit photo DR
Qui sera Miss Côte d'Ivoire 2025 ce 28 juin ? © Crédit photo DR
Qui sera Miss Côte d'Ivoire 2025 ? Cette question passionne les Ivoiriens à l'approche de la finale nationale du 28 juin au Parc des Expositions d'Abidjan. Trente candidates exceptionnelles, âgées de 19 à 27 ans et mesurant entre 1,67 m et 1,86 m, se disputent la succession de Marie-Emmanuelle Diamala. Ces finalistes représentent toutes les régions du pays ainsi que la diaspora, offrant un panel inédit de talents et de personnalités.

Les bookmakers et observateurs du concours identifient déjà plusieurs favorites. Sarah Feddal (Gbêkê, 25 ans, 1m70), doctorante en biochimie, impressionne par son parcours académique exceptionnel. Aïchata Sanogo (Tonkpi, 23 ans, 1m80), élue "reine de la beauté" lors des présélections, séduit par son éloquence naturelle. Ces profils illustrent la nouvelle génération de candidates qui allient beauté et intelligence.

Les favorites

Sarah Feddal incarne parfaitement la candidate moderne recherchée par les organisateurs. Cette doctorante en biochimie de 25 ans représente la région du Gbêkê avec une prestance naturelle et une intelligence remarquable. « L'éducation reste le pilier fondamental du développement de notre pays », déclare-t-elle lors des entretiens préliminaires. Son projet social axé sur l'alphabétisation des femmes rurales renforce sa candidature.

Aïchata Sanogo (Tonkpi) constitue l'autre figure de proue intellectuelle du concours. À 23 ans et 1m80, cette candidate a été élue "reine de la beauté" lors des présélections régionales, témoignant de sa popularité naturelle. Son aisance oratoire et ses convictions sociales en font une prétendante sérieuse à la couronne nationale.

Ces deux candidates bénéficient du soutien des observateurs qui privilégient la substance sur l'apparence. Leurs parcours universitaires et leurs projets sociaux correspondent aux nouvelles exigences du concours ivoirien, désormais orienté vers l'engagement communautaire et le leadership féminin.

La bataille des mensurations spectaculaires

Aïcha Bonibo (Bounkani, 24 ans, 1m86) domine physiquement la compétition avec ses mensurations exceptionnelles. Cette candidate du Nord-Est cumule tous les atouts : taille impressionnante, beauté naturelle et charisme évident. Son projet social axé sur l'entrepreneuriat féminin complète un profil déjà séduisant pour le jury.

Samuela Amadou (Grands-Ponts, 20 ans, 1m83) et Grace-Esther Bomo (Gontougo, 24 ans, 1m83) complètent ce trio de géantes qui pourrait redéfinir les standards esthétiques du concours. Leurs 1m83 respectifs les positionnent comme des alternatives crédibles à Aïcha Bonibo, créant une émulation positive entre ces candidates d'exception.

La jeunesse de Samuela Amadou (20 ans) contraste avec l'expérience de Grace-Esther Bomo (24 ans), offrant deux approches différentes de la représentation. Cette diversité d'âges au sein du groupe des favorites physiques enrichit la compétition et multiplie les profils possibles pour la future Miss.

Les outsiders régionales à surveiller

Plusieurs candidates régionales émergent comme des outsiders sérieuses. Syntiche Esmel (Poro, 22 ans, 1m82) représente dignement les régions du Nord avec un profil équilibré entre beauté et engagement social. Son projet de soutien aux agricultrices du Poro résonne particulièrement dans une Côte d'Ivoire majoritairement agricole.

Neulissa Gbeada (Moronou, 23 ans, 1m74) incarne les espoirs de l'Est ivoirien. Cette candidate de 23 ans mise sur son authenticité et sa connaissance approfondie des réalités rurales pour séduire un jury sensible aux problématiques du développement territorial.

Les régions du Sud ne sont pas en reste avec Doloresse Sedia (San-Pédro, 25 ans, 1m74) qui porte les couleurs de la capitale économique du Sud-Ouest. Son expérience du milieu portuaire et ses convictions écologiques offrent une perspective originale sur les défis ivoiriens contemporains.

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