Vague d'arrestations dans l'opposition en Côte d'Ivoire, le GPS de Soro Guillaume crie à la répression © Crédit photo DR
Les arrestations se multiplient en Côte d'Ivoire. Depuis plusieurs mois, le pouvoir RHDP intensifie la pression sur l'opposition à l'approche de la présidentielle du 25 octobre. Anciens ministres, ambassadeurs, responsables politiques et simples militants ont été interpellés sous des accusations que GPS juge « fallacieuses ». Plusieurs dizaines de personnes, toutes membres de l'opposition, ont été placées sous mandat de dépôt. D'autres militants auraient même disparu « mystérieusement, sans explication crédible », selon le communiqué publié ce mardi 7 octobre.
Le parti Générations et Peuples Solidaires pointe directement du doigt le procureur de la République, Koné Oumar Braman. Sous son autorité, une série d'inculpations et de mises en examen vise les rangs de l'opposition. Les motifs invoqués : « actes terroristes », « complot contre l'État », « trouble à l'ordre public » ou encore « diffusion de fausses nouvelles ». GPS dénonce « une instrumentalisation flagrante de la justice » qui transforme la magistrature en « bras armé du régime ».
Le parti Générations et Peuples Solidaires pointe directement du doigt le procureur de la République, Koné Oumar Braman. Sous son autorité, une série d'inculpations et de mises en examen vise les rangs de l'opposition. Les motifs invoqués : « actes terroristes », « complot contre l'État », « trouble à l'ordre public » ou encore « diffusion de fausses nouvelles ». GPS dénonce « une instrumentalisation flagrante de la justice » qui transforme la magistrature en « bras armé du régime ».
Un climat de peur installé
Guillaume Soro, ancien Premier ministre et ex-président de l'Assemblée nationale, aujourd'hui en exil, ne mâche pas ses mots à travers son parti. GPS accuse le pouvoir d'instaurer « un véritable État Gestapo, où les citoyens vivent traqués pour la seule raison d'avoir exprimé une opinion divergente ». Le parti affirme que des jeunes leaders ont été interpellés, que des condamnations « abusives » ont été prononcées.
Cette escalade répressive intervient dans un contexte électoral déjà tendu. Le régime chercherait selon GPS à « étouffer toute voix discordante » par « menaces, intimidations et arrestations arbitraires ». Le parti de Guillaume Soro martèle : « Aucun peuple ne saurait durablement accepter de vivre privé de ses libertés et muselé dans son expression. »
Cette escalade répressive intervient dans un contexte électoral déjà tendu. Le régime chercherait selon GPS à « étouffer toute voix discordante » par « menaces, intimidations et arrestations arbitraires ». Le parti de Guillaume Soro martèle : « Aucun peuple ne saurait durablement accepter de vivre privé de ses libertés et muselé dans son expression. »
GPS exige la libération immédiate des détenus
Dans sa déclaration, le parti « condamne sans réserve cette vague d'arrestations arbitraires et de violations répétées des droits de l'homme ». GPS réclame « la libération immédiate de tous les prisonniers d'opinion et l'arrêt des intimidations contre les citoyens, partis politiques et organisations de la société civile ».
L'organisation politique rappelle au régime que « la paix et la stabilité de la Côte d'Ivoire ne peuvent être bâties que sur le respect des droits humains, des libertés fondamentales et de l'État de droit ». GPS lance un appel solennel à la communauté nationale et internationale pour qu'elles ne restent pas « spectatrices de cette dérive autoritaire ».
Le parti tire la sonnette d'alarme : « L'histoire de notre pays a montré que l'injustice et la répression mènent toujours à des crises majeures. » Alors que la présidentielle approche, GPS prévient que cette « politique de la terreur ne peut conduire qu'à davantage de tensions et d'instabilité ». Les acquis démocratiques ivoiriens ne seraient désormais plus qu'un « lointain souvenir » selon le parti d'opposition.
À trois semaines du scrutin, la Côte d'Ivoire navigue entre répression intérieure et missions diplomatiques internationales, sans que les tensions ne s'apaisent.
L'organisation politique rappelle au régime que « la paix et la stabilité de la Côte d'Ivoire ne peuvent être bâties que sur le respect des droits humains, des libertés fondamentales et de l'État de droit ». GPS lance un appel solennel à la communauté nationale et internationale pour qu'elles ne restent pas « spectatrices de cette dérive autoritaire ».
Le parti tire la sonnette d'alarme : « L'histoire de notre pays a montré que l'injustice et la répression mènent toujours à des crises majeures. » Alors que la présidentielle approche, GPS prévient que cette « politique de la terreur ne peut conduire qu'à davantage de tensions et d'instabilité ». Les acquis démocratiques ivoiriens ne seraient désormais plus qu'un « lointain souvenir » selon le parti d'opposition.
À trois semaines du scrutin, la Côte d'Ivoire navigue entre répression intérieure et missions diplomatiques internationales, sans que les tensions ne s'apaisent.