Aveux des violences de Yopougon à la RTI : Assalé Tiémoko dénonce une "justice spectacle" © Crédit photo DR
Réaction d'Assalé Tiémoko sur la diffusion des aveux de Josué Kouamé le 3 août 2025 sur la RTI après les violences de Yopougon. Le président de l'Alliance pour la Démocratie en Côte d'Ivoire (ADCI) et candidat déclaré à la présidentielle 2025 qualifie cette méthode de "pratique de parti unique et d'État policier". Sa réaction intervient après la diffusion récente d'aveux d'un suspect à la télévision nationale, soulevant un tollé dans l'opinion publique.
Cette prise de position d'Assalé Tiémoko s'inscrit dans un débat plus large sur le respect des libertés fondamentales en Côte d'Ivoire. L'homme politique pointe du doigt une violation flagrante de la présomption d'innocence garantie par la Constitution ivoirienne. Son intervention publique témoigne des tensions croissantes autour des pratiques judiciaires et médiatiques à quelques mois des élections présidentielles de 2025.
Cette prise de position d'Assalé Tiémoko s'inscrit dans un débat plus large sur le respect des libertés fondamentales en Côte d'Ivoire. L'homme politique pointe du doigt une violation flagrante de la présomption d'innocence garantie par la Constitution ivoirienne. Son intervention publique témoigne des tensions croissantes autour des pratiques judiciaires et médiatiques à quelques mois des élections présidentielles de 2025.
Constitution bafouée
"Diffuser à la télévision les 'aveux' d'une personne non encore jugée ni condamnée, est une pratique de parti unique et d'État policier", déclare fermement Assalé Tiémoko dans sa réaction officielle. Le candidat ADCI insiste sur le caractère anticonstitutionnel de cette démarche qui "piétine la présomption d'innocence garantie par notre constitution". Cette sortie musclée vise directement les autorités ivoiriennes et leurs méthodes de communication.
Le président de l'ADCI établit un parallèle inquiétant avec les régimes autoritaires du passé. Pour Assalé Tiémoko, ces pratiques rappellent les heures sombres des États policiers où les droits individuels étaient systématiquement bafoués. Cette comparaison historique vise à alerter l'opinion sur les dérives potentielles du système judiciaire actuel et ses implications pour la démocratie ivoirienne.
Le président de l'ADCI établit un parallèle inquiétant avec les régimes autoritaires du passé. Pour Assalé Tiémoko, ces pratiques rappellent les heures sombres des États policiers où les droits individuels étaient systématiquement bafoués. Cette comparaison historique vise à alerter l'opinion sur les dérives potentielles du système judiciaire actuel et ses implications pour la démocratie ivoirienne.
État de droit
"La justice spectacle ne doit plus avoir droit de cité dans notre pays", martèle Assalé Tiémoko dans sa déclaration. Le candidat à la présidentielle 2025 rejette catégoriquement cette instrumentalisation médiatique de la justice qu'il juge contraire aux valeurs démocratiques. Cette formule choc résume sa vision d'une justice indépendante et respectueuse des procédures légales, loin des projecteurs et des manipulations politiques.
"Construisons un véritable État de droit dans une société de confiance, seul véritable rempart contre l'instabilité et le désordre intérieurs", conclut Assalé Tiémoko dans son message. Le président ADCI propose une alternative constructive basée sur le respect des institutions et la confiance mutuelle entre citoyens et État. Cette vision programmatique s'inscrit dans sa campagne présidentielle 2025 où il entend incarner le renouveau démocratique face aux pratiques actuelles qu'il juge inadmissibles.
"Construisons un véritable État de droit dans une société de confiance, seul véritable rempart contre l'instabilité et le désordre intérieurs", conclut Assalé Tiémoko dans son message. Le président ADCI propose une alternative constructive basée sur le respect des institutions et la confiance mutuelle entre citoyens et État. Cette vision programmatique s'inscrit dans sa campagne présidentielle 2025 où il entend incarner le renouveau démocratique face aux pratiques actuelles qu'il juge inadmissibles.