Pascal Affi N'Guessan écarté de la présidentielle 2025 : le verdict du Conseil constitutionnel provoque la colère du Front Populaire Ivoirien. Apollos Dan Thé, cadre du parti, ne mâche pas ses mots face à cette exclusion. « Le FPI a fait le parrainage pour son candidat Affi N'Guessan en bonne et due forme dans 20 régions et nous avions même des réserves de parrains », affirme-t-il dans une déclaration cinglante.
L'éviction du président du FPI pour déficit de 20 504 parrainages et doublons suscite l'incompréhension du parti. « C'est avec grand étonnement qu'on a appris comme tout le monde qu'on n'a pas eu suffisamment de parrains pour cause de faux parrainages ou doublons », déplore Apollos Dan Thé. Cette exclusion prive l'opposition d'une figure historique dans la course présidentielle d'octobre 2025.
L'éviction du président du FPI pour déficit de 20 504 parrainages et doublons suscite l'incompréhension du parti. « C'est avec grand étonnement qu'on a appris comme tout le monde qu'on n'a pas eu suffisamment de parrains pour cause de faux parrainages ou doublons », déplore Apollos Dan Thé. Cette exclusion prive l'opposition d'une figure historique dans la course présidentielle d'octobre 2025.
Accusations contre le Conseil constitutionnel
Le FPI pointe du doigt les méthodes du Conseil constitutionnel. « Nous n'avons pas été notifiés comme l'exige la loi pour combler le déficit », dénonce fermement Apollos Dan Thé. Selon lui, l'institution n'a pas respecté la procédure légale qui prévoit un délai de 48 heures pour régulariser les dossiers défaillants.
« Le CC ne nous a pas notifié ni donné 48 heures pour combler le déficit comme l'exige la loi », poursuit le cadre du FPI. Cette accusation soulève des questions sur l'équité du processus de validation. Pour le parti, cette omission procédurale révèle une volonté délibérée d'écarter leur candidat de la course présidentielle.
« Le CC ne nous a pas notifié ni donné 48 heures pour combler le déficit comme l'exige la loi », poursuit le cadre du FPI. Cette accusation soulève des questions sur l'équité du processus de validation. Pour le parti, cette omission procédurale révèle une volonté délibérée d'écarter leur candidat de la course présidentielle.
Une manipulation dénoncée
Les soupçons du FPI portent sur l'origine des doublons constatés. « On ne sait même pas comment ce déficit est arrivé étant donné qu'avant nous il n'y avait que Billon et Lagou », s'interroge Apollos Dan Thé. Cette remarque suggère que les parrainages du FPI auraient été compromis par les dossiers des candidats précédents.
« Par quelle alchimie ces deux candidats nous ont-ils causé des doublons ? Seul Dieu sait », lance-t-il avec amertume. Cette accusation implicite vise Jean-Louis Billon et Henriette Lagou, tous deux validés par le Conseil constitutionnel. Le FPI laisse entendre qu'une manipulation aurait eu lieu pour fragiliser le dossier d'Affi N'Guessan.
La conclusion d'Apollos Dan Thé est sans appel : « Chacun aura compris, il fallait coûte que coûte écarter le candidat Affi ». Cette déclaration accuse frontalement le Conseil constitutionnel d'avoir organisé l'éviction du leader du FPI. Le parti dénonce une justice constitutionnelle partiale qui aurait décidé à l'avance du sort de leur candidat.
Malgré cette amertume, le FPI félicite les candidats validés. « Félicitations à Don Melo et à Mme Simone Ehivet », conclut Apollos Dan Thé, montrant que la contestation ne vise pas les autres prétendants mais uniquement l'institution. Cette exclusion redessine le paysage électoral en privant l'opposition gbagbiste de son représentant historique pour le scrutin du 25 octobre 2025.
« Par quelle alchimie ces deux candidats nous ont-ils causé des doublons ? Seul Dieu sait », lance-t-il avec amertume. Cette accusation implicite vise Jean-Louis Billon et Henriette Lagou, tous deux validés par le Conseil constitutionnel. Le FPI laisse entendre qu'une manipulation aurait eu lieu pour fragiliser le dossier d'Affi N'Guessan.
La conclusion d'Apollos Dan Thé est sans appel : « Chacun aura compris, il fallait coûte que coûte écarter le candidat Affi ». Cette déclaration accuse frontalement le Conseil constitutionnel d'avoir organisé l'éviction du leader du FPI. Le parti dénonce une justice constitutionnelle partiale qui aurait décidé à l'avance du sort de leur candidat.
Malgré cette amertume, le FPI félicite les candidats validés. « Félicitations à Don Melo et à Mme Simone Ehivet », conclut Apollos Dan Thé, montrant que la contestation ne vise pas les autres prétendants mais uniquement l'institution. Cette exclusion redessine le paysage électoral en privant l'opposition gbagbiste de son représentant historique pour le scrutin du 25 octobre 2025.