
La CEI fixe au 20 juin la date limite pour la soumission des équipes des candidats à la présidentielle © Crédit photo DR
La Commission Électorale Indépendante (CEI) prend des mesures claires pour les candidats à la présidentielle de 2025. Dans un communiqué publié le 11 juin, la CEI demande à chaque candidat de transmettre la liste de leur Coordonnateur central et de son adjoint au Secrétariat Permanent de la CEI d’ici le 20 juin. Cette démarche vise à renforcer la transparence du processus électoral.
Cette demande s'inscrit dans un contexte de préparation pour les élections où chaque détail compte. Le président de la CEI, acteur clé de cette phase, insiste sur l'importance de recevoir ces informations pour assurer un bon déroulement des élections. "La rigueur dans les formalités garantira un scrutin plus fluide et fiable", a-t-il déclaré.
Cette demande s'inscrit dans un contexte de préparation pour les élections où chaque détail compte. Le président de la CEI, acteur clé de cette phase, insiste sur l'importance de recevoir ces informations pour assurer un bon déroulement des élections. "La rigueur dans les formalités garantira un scrutin plus fluide et fiable", a-t-il déclaré.
Contexte électoral en Côte d'Ivoire
Les élections présidentielles sont fixées au 25 octobre 2025, période particulièrement attendue dans un climat politique tendu. La CEI a récemment divulgué la liste électorale définitive, comprenant 8,7 millions d'inscrits, ce qui représente une hausse de près de 9 % par rapport à la liste précédente.
Cette mise à jour découle d'une opération de révision effectuée sur plusieurs mois, ayant permis l'ajout d'environ 715 000 nouveaux électeurs, ainsi que l'ouverture de 25 678 bureaux de vote et 11 906 lieux de vote. La CEI souligne que ces chiffres témoignent de la fiabilité du processus électoral, soutenu par l'utilisation de la technologie biométrique.
Pour accompagner les candidats, la CEI a prévu une formation le 23 juin à son siège à Abidjan-Cocody. Cette session se concentrera sur le mode opératoire de la collecte des signatures, étape essentielle pour obtenir le parrainage citoyen nécessaire à la candidature. Ce processus se basera sur la liste électorale définitive, et environ trois mois seront alloués à cette opération.
Cette mise à jour découle d'une opération de révision effectuée sur plusieurs mois, ayant permis l'ajout d'environ 715 000 nouveaux électeurs, ainsi que l'ouverture de 25 678 bureaux de vote et 11 906 lieux de vote. La CEI souligne que ces chiffres témoignent de la fiabilité du processus électoral, soutenu par l'utilisation de la technologie biométrique.
Pour accompagner les candidats, la CEI a prévu une formation le 23 juin à son siège à Abidjan-Cocody. Cette session se concentrera sur le mode opératoire de la collecte des signatures, étape essentielle pour obtenir le parrainage citoyen nécessaire à la candidature. Ce processus se basera sur la liste électorale définitive, et environ trois mois seront alloués à cette opération.
Tensions politiques persistantes
Cependant, le climat politique est assombri par l’exclusion définitive de plusieurs figures de l’opposition. Des personnalités comme Laurent Gbagbo, Tidjane Thiam, Guillaume Soro et Charles Blé Goudé figurent sur cette liste, pour des raisons judiciaires et administratives. Cette situation soulève des préoccupations quant aux conditions de concurrence des candidats.
L'absence de ces figures pourrait influencer la dynamique politique dans les mois à venir. Les observateurs s'interrogent sur l'impact de ces exclusions sur la légitimité des élections et sur la confiance des électeurs envers le système électoral.
La CEI, en insistant sur la nécessité de soumettre les équipes des candidats avant le 20 juin, souligne l'importance de ces démarches dans le cadre des élections présidentielles de 2025. Alors que le processus électoral entre dans une phase active, les enjeux vont au-delà des aspects techniques, touchant également le domaine politique.
Les citoyens espèrent une élection qui reflète leurs choix, une attente qui est fondamentale pour l'avenir démocratique de la Côte d'Ivoire.
L'absence de ces figures pourrait influencer la dynamique politique dans les mois à venir. Les observateurs s'interrogent sur l'impact de ces exclusions sur la légitimité des élections et sur la confiance des électeurs envers le système électoral.
La CEI, en insistant sur la nécessité de soumettre les équipes des candidats avant le 20 juin, souligne l'importance de ces démarches dans le cadre des élections présidentielles de 2025. Alors que le processus électoral entre dans une phase active, les enjeux vont au-delà des aspects techniques, touchant également le domaine politique.
Les citoyens espèrent une élection qui reflète leurs choix, une attente qui est fondamentale pour l'avenir démocratique de la Côte d'Ivoire.