La Côte d'Ivoire figure parmi les treize pays africains dont l'ambassadeur américain est rappelé par l'administration Trump, rapporte l'Associated Press. Ce mouvement diplomatique touche près de la moitié des 29 chefs de mission concernés à l'échelle mondiale.
Le rappel de l'ambassadeur en poste à Abidjan s'inscrit dans une réorganisation visant à aligner la diplomatie américaine sur la doctrine « L'Amérique d'abord ». Outre la Côte d'Ivoire, douze autres nations africaines sont concernées : Burundi, Cameroun, Cap-Vert, Gabon, Madagascar, Maurice, Niger, Nigeria, Rwanda, Sénégal, Somalie et Ouganda.
Ce bouleversement diplomatique s'accompagne de restrictions d'entrée aux États-Unis. Une proclamation présidentielle du 16 décembre place la Côte d'Ivoire parmi quinze pays africains soumis à des restrictions partielles de visas.
Washington justifie ces mesures par des taux élevés de dépassement de visas et des carences dans les systèmes de contrôle. La Maison-Blanche évoque également des difficultés de réadmission de ressortissants expulsables et la nécessité de renforcer la coopération en matière sécuritaire.
Pour Abidjan, ce double coup porte un impact sur les relations bilatérales avec Washington, alors que la Côte d'Ivoire maintient des liens économiques et sécuritaires avec les États-Unis dans la sous-région ouest-africaine.
Le rappel de l'ambassadeur en poste à Abidjan s'inscrit dans une réorganisation visant à aligner la diplomatie américaine sur la doctrine « L'Amérique d'abord ». Outre la Côte d'Ivoire, douze autres nations africaines sont concernées : Burundi, Cameroun, Cap-Vert, Gabon, Madagascar, Maurice, Niger, Nigeria, Rwanda, Sénégal, Somalie et Ouganda.
Ce bouleversement diplomatique s'accompagne de restrictions d'entrée aux États-Unis. Une proclamation présidentielle du 16 décembre place la Côte d'Ivoire parmi quinze pays africains soumis à des restrictions partielles de visas.
Washington justifie ces mesures par des taux élevés de dépassement de visas et des carences dans les systèmes de contrôle. La Maison-Blanche évoque également des difficultés de réadmission de ressortissants expulsables et la nécessité de renforcer la coopération en matière sécuritaire.
Pour Abidjan, ce double coup porte un impact sur les relations bilatérales avec Washington, alors que la Côte d'Ivoire maintient des liens économiques et sécuritaires avec les États-Unis dans la sous-région ouest-africaine.






