Vingt cadres de l'opposition ivoirienne (PDCI et PPA-CI) ont été convoqués ce mardi 28 octobre 2025 à la police criminelle d'Abidjan.
Sept responsables du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI-RDA) - dont Noël Akossi Bendjo, Sylvestre Emmou, Georges Philippe Ezaley, Augustin Dia Houphouet Yohou, Alain Cocauthrey, Roger M'Bia et Jean Kouakou Gnrangbé - ont reçu une convocation déposée en fin de journée lundi au siège du parti à Cocody.
Treize cadres du Parti panafricain de Côte d'Ivoire (PPA-CI) ont également été convoqués par la préfecture de police, parmi lesquels Michel Gbagbo, Koné Katinan Justin, Sébastien Dano Djédjé, Assoa Adou et Damana Pickas.
Dans un communiqué daté du 28 octobre, le procureur de la République Koné Braman Oumar a indiqué que les enquêtes menées après "les violences perpétrées lors des attroupements" consécutifs à l'interdiction d'une marche prévue le 11 octobre 2025 ont révélé que "certains individus ainsi que des personnes se disant membres du service d'ordre du PPA-CI étaient munis d'armes de guerre".
Le magistrat a demandé "instamment à tous ces détenteurs d'armes sans autorisation administrative, de déposer les armes en leur possession dans les unités de Police ou de Gendarmerie, sous peine de poursuite judiciaire". La détention illégale d'armes de guerre est passible de cinq à dix ans d'emprisonnement ferme en Côte d'Ivoire.
Les deux formations politiques avaient prévu une marche commune mi-octobre, interdite par les autorités.
Sept responsables du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI-RDA) - dont Noël Akossi Bendjo, Sylvestre Emmou, Georges Philippe Ezaley, Augustin Dia Houphouet Yohou, Alain Cocauthrey, Roger M'Bia et Jean Kouakou Gnrangbé - ont reçu une convocation déposée en fin de journée lundi au siège du parti à Cocody.
Treize cadres du Parti panafricain de Côte d'Ivoire (PPA-CI) ont également été convoqués par la préfecture de police, parmi lesquels Michel Gbagbo, Koné Katinan Justin, Sébastien Dano Djédjé, Assoa Adou et Damana Pickas.
Dans un communiqué daté du 28 octobre, le procureur de la République Koné Braman Oumar a indiqué que les enquêtes menées après "les violences perpétrées lors des attroupements" consécutifs à l'interdiction d'une marche prévue le 11 octobre 2025 ont révélé que "certains individus ainsi que des personnes se disant membres du service d'ordre du PPA-CI étaient munis d'armes de guerre".
Le magistrat a demandé "instamment à tous ces détenteurs d'armes sans autorisation administrative, de déposer les armes en leur possession dans les unités de Police ou de Gendarmerie, sous peine de poursuite judiciaire". La détention illégale d'armes de guerre est passible de cinq à dix ans d'emprisonnement ferme en Côte d'Ivoire.
Les deux formations politiques avaient prévu une marche commune mi-octobre, interdite par les autorités.





