En déplacement à Bangofla, Vincent Toh Bi a livré un récit surprenant lors d’une rencontre publique. L’ancien préfet d’Abidjan et désormais candidat à la présidentielle d’octobre 2025 a raconté une scène familiale qui a pris une dimension politique. Alors qu’il posait pour une photo avec son frère Abou Dosso et son entourage, l’épouse de ce dernier a décidé de porter un tee-shirt aux couleurs du RHDP. « J’ai voulu la chasser mais je me suis retenu », a confié le candidat, non sans ironie, avant d’ajouter qu’il soupçonnait son frère « d’être aussi RHDP ».
Cette anecdote, racontée sur un ton à la fois léger et ferme, a servi de tremplin à un message plus large. « Abou est mon frère et il le restera. Il choisit qui il veut. C’est ça la démocratie », a insisté Vincent Toh Bi. Le candidat a profité de l’occasion pour rappeler que la diversité des opinions ne doit pas diviser les familles ni alimenter les rancunes. « Ton frère est candidat, tout le village sort en masse pour lui manifester son soutien et toi, ta femme vient gâter la photo avec son tricot RHDP. C’est pas de la provocation, ça ? », a-t-il lancé, en se voulant à la fois taquin et pédagogique.
Cette anecdote, racontée sur un ton à la fois léger et ferme, a servi de tremplin à un message plus large. « Abou est mon frère et il le restera. Il choisit qui il veut. C’est ça la démocratie », a insisté Vincent Toh Bi. Le candidat a profité de l’occasion pour rappeler que la diversité des opinions ne doit pas diviser les familles ni alimenter les rancunes. « Ton frère est candidat, tout le village sort en masse pour lui manifester son soutien et toi, ta femme vient gâter la photo avec son tricot RHDP. C’est pas de la provocation, ça ? », a-t-il lancé, en se voulant à la fois taquin et pédagogique.
Prévenir la violence électorale
Au-delà du trait d’humour, le message politique était clair : l’élection présidentielle ne doit pas basculer dans la confrontation violente. « Les élections, ce n’est pas la guerre », a martelé Vincent Toh Bi, s’adressant aussi bien à ses partisans qu’à ses adversaires. « Je voudrais rappeler à tous ceux qui, sur les réseaux sociaux, dans les médias et dans la vie publique, traitent leurs adversaires comme des animaux à abattre : les élections ne sont pas la guerre », a-t-il poursuivi, appelant à un climat de respect mutuel.
Le candidat dit vouloir porter un projet de rassemblement. « Nous sommes candidat pour contribuer à élever la Côte d’Ivoire et la faire avancer sur la voie du progrès et de la vraie démocratie », a-t-il affirmé, avant de conclure sur une promesse : transformer la Côte d’Ivoire en « pays de fraternité et de bonheur ». À un peu plus d’un an du scrutin, Vincent Toh Bi se positionne donc comme l’un des challengers misant sur un discours d’apaisement dans une scène politique encore traversée par les clivages.
Le candidat dit vouloir porter un projet de rassemblement. « Nous sommes candidat pour contribuer à élever la Côte d’Ivoire et la faire avancer sur la voie du progrès et de la vraie démocratie », a-t-il affirmé, avant de conclure sur une promesse : transformer la Côte d’Ivoire en « pays de fraternité et de bonheur ». À un peu plus d’un an du scrutin, Vincent Toh Bi se positionne donc comme l’un des challengers misant sur un discours d’apaisement dans une scène politique encore traversée par les clivages.