Ahoua Don-Mello condamne fermement les violences de Nahio © Crédit photo DR
Ahoua Don-Mello sort du silence. Dans une déclaration publiée ce 27 octobre 2025, le candidat à l'élection présidentielle réagit aux violences survenues à Nahio, dans la commune de Saïoua, entre le 25 et le 26 octobre. Des populations ont été « victimes d'atrocités » commises par « des individus bien identifiables », selon les informations rapportées au candidat. Le bilan fait état de pertes en vies humaines, d'une cinquantaine de maisons incendiées et de nombreux blessés.
« Le candidat Ahoua Don-Mello condamne avec fermeté tous les actes de violence commis à Nahio », indique le communiqué signé par Ahilé Armand dit Léo, directeur de communication de campagne. Pour l'opposant, ces violences rappellent étrangement celles de Daoukro en octobre 2020, lors de l'élection présidentielle d'alors. Un parallèle qui ne doit rien au hasard dans un contexte électoral déjà explosif.
« Le candidat Ahoua Don-Mello condamne avec fermeté tous les actes de violence commis à Nahio », indique le communiqué signé par Ahilé Armand dit Léo, directeur de communication de campagne. Pour l'opposant, ces violences rappellent étrangement celles de Daoukro en octobre 2020, lors de l'élection présidentielle d'alors. Un parallèle qui ne doit rien au hasard dans un contexte électoral déjà explosif.
Une demande d'enquête immédiate
Le candidat exige une enquête « complète, rapide, impartiale et équitable » sur ces événements. « Il s'interroge sur les raisons qui auraient poussé ces individus à les commettre, au soir même du vote pour l'élection du Président de la République de Côte d'Ivoire », précise le texte. Ahoua Don-Mello demande que « les responsables de ces atrocités soient traduits en justice et condamnés à réparer les dommages causés ».
Cette position ferme intervient alors que le pays sort à peine d'un scrutin présidentiel controversé. Les tensions restent vives dans plusieurs régions, et les accusations de violences se multiplient de part et d'autre. À Nahio, le chaos dans lequel sont plongées les populations ressemble trait pour trait à celui vécu à Daoukro il y a cinq ans.
Le candidat ne se contente pas de condamner. Il appelle directement « à la cessation immédiate de ces agressions et à un retour au calme ». Une prise de parole qui contraste avec le silence de nombreux autres acteurs politiques sur ces violences spécifiques.
Cette position ferme intervient alors que le pays sort à peine d'un scrutin présidentiel controversé. Les tensions restent vives dans plusieurs régions, et les accusations de violences se multiplient de part et d'autre. À Nahio, le chaos dans lequel sont plongées les populations ressemble trait pour trait à celui vécu à Daoukro il y a cinq ans.
Le candidat ne se contente pas de condamner. Il appelle directement « à la cessation immédiate de ces agressions et à un retour au calme ». Une prise de parole qui contraste avec le silence de nombreux autres acteurs politiques sur ces violences spécifiques.
Un déplacement annoncé sur place
Ahoua Don-Mello va plus loin. Il annonce qu'il effectuera « les jours à venir, un déplacement à Nahio, à l'effet d'écouter les populations en détresse, et leur apporter son soutien entier et son réconfort ». Une initiative qui pourrait transformer cette tragédie locale en enjeu politique national.
« Le candidat Ahoua Don-Mello, tout en exprimant sa profonde préoccupation pour les populations civiles touchées par les violences, appelle à la cessation immédiate de ces agressions », rappelle son directeur de communication. Des mots forts dans un contexte où beaucoup préfèrent garder le silence.
Cette visite annoncée pourrait également permettre de faire la lumière sur les circonstances exactes de ces violences. Qui sont ces « individus bien identifiables » mentionnés dans le communiqué ? Pourquoi ont-ils agi précisément le soir du scrutin présidentiel ? Autant de questions qui restent sans réponse et auxquelles le candidat entend bien apporter des éclaircissements sur le terrain.
« Le candidat Ahoua Don-Mello, tout en exprimant sa profonde préoccupation pour les populations civiles touchées par les violences, appelle à la cessation immédiate de ces agressions », rappelle son directeur de communication. Des mots forts dans un contexte où beaucoup préfèrent garder le silence.
Cette visite annoncée pourrait également permettre de faire la lumière sur les circonstances exactes de ces violences. Qui sont ces « individus bien identifiables » mentionnés dans le communiqué ? Pourquoi ont-ils agi précisément le soir du scrutin présidentiel ? Autant de questions qui restent sans réponse et auxquelles le candidat entend bien apporter des éclaircissements sur le terrain.
